Dimèrcs 11 de Mai*

Publié le par le baron de lescun

Vers un temps de saison...Jardiner...Les zinfos du coin...Les réactions...

L'humeur de Pangloss  et l'humour de J.M.


Un peu d'eau et baisse des températures en fin de semaine...


Jardinez avec la météo : profitez de la douceur !

Crédit Photo :La Chaîne Météo


jardinagerusticaAnémonePervencheChaque semaine, La Chaîne Météo vous aide à prendre soin de votre jardin en accord avec le temps et les saisons. Mai apporte un programme chargé au jardinier : semis, plantations, boutures, tailles, tontes à répétition… Suivez les conseils de Rustica :



Partout en France, plantez et semez !




La douceur de ces prochains jours offrira des conditions idéales aux travaux du jardin. Toute la végétation est bien réveillée, mais attention aux intempéries du printemps parfois dévastatrices : orages et plantations ne font pas bon ménage !


Que vous semiez les annuelles, plantiez les bulbes ou composiez vos jardinières, en mai l’heure est à la floraison du jardin d’ornement. Pensez aussi à multiplier vos plantes par bouture pour faire des économies.


· Installez les potées, jardinières ou suspensions de géraniums (qui présentent l’avantage d’être particulièrement résistants aux aléas du temps), d’agapanthes (après les dernières gelées seulement), d’annuelles, de bulbes d’été, de condimentaires pour bénéficier de saveurs variées dans vos salades d’été, des palmiers rustiques et des plantes exotiques dans le jardin.
· Faites une potée de commélines ou d’hostas à l’ombre.
· Bouturez les aechméas, aeschynanthus, aglaonémas, bégonias, cactus de Noël et autres cactées, clérodendrons, coléus, cordylines, cypérus, dieffenbachias, ficus, fittonias, gynuras, hypoestès, ixoras, jacobinias, kalanchoes, misères, pépéromias, philodendrons, plectranthus, pothos, yuccas, passiflores, asters, aubriètes, lins vivaces, sedums, saintpaulias, sansevières et autres plantes grasses, streptocarpus, tolmiéas.
· Semez en place les adonides d’été, les alysses odorantes, les belles-de-jour, les capucines, les centaurées, les chrysanthèmes à carène, les clarkias, les cosmos, les juliennes de Mahon, les lavatères, les linaires, les nigelles, les pavots annuels et pavots de Californie, les pieds-d’alouette, les soucis et les reines-marguerites.
· Rempotez les bonsaïs d’extérieur et d’intérieur, les cactées et les plantes vertes d’intérieur.
· Arrosez les plantes à l’extérieur par temps sec lorsqu’il ne gèle pas et donnez de l’engrais régulièrement.
· Protégez les jeunes plantations contre les limaces


 .
ESTELLE et MAMERT,1er des saints de glace !!

 

Sainte Estelle est une martyre du IIIème s.

Eustelle était la fille du gouverneur romain de la région de Saintes. Elle fut convertie au christianisme par saint Eutrope le premier évêque de la ville et se consacra à Dieu. Comme elle refusait tous les prétendants que sont père lui présentait, et qu’il voulait la faire apostasier, il la fit mettre à mort !

 Elle fut enterrée avec saint Eutrope qui venait de mourir.medium_Cloitre_Ste_Eustelle_La_Rochelle.jpg

 

Ce cloître Ste Eustelle fait partie du couvent des Augustins de La Rochelle

 

Son nom d’origine grecque  signifie « bien parée », il était très populaire dans la région des Charentes mais le poète Frédéric Mistral a pris cette sainte comme patronne de son mouvement littéraire en latinisant son nom en Estelle qui signifie « étoile »

 BONNE FETE AUX EUSTELLE, ESTELLE, ETHELLE, METELLA, STELLA *


 

MAMERT,évêque 420/477,le premier des saints de glace,avec PANCRACE et SERVAIS.

Méfiez-vous de Saint Mamert,de Saint Pancrace et Saint Servais,car ils amènent un temps frais,et vous auriez amer regret !

_>Servais a été confondu avec :Gervais,feté le 19 Juin...



 
Samedi : vibrer avec le Hand Ball Club Aspois.

Excellente saison pour le Hand-Ball Club Aspois qui voit deux de ses équipes en demi-finale du Championnat. Dans le peloton de tête  tout au long de la saison, elles méritent d'accéder et de remporter les finales. Après avoir disputé la première demi-finale aller, elles défendront samedi  à domicile les couleurs du club.

  • A 18h, l'équipe 13 ans Féminine tentera de s'imposer sur son terrain pour dépasser les 4 points manquants face à l'équipe de Coarraze- Asson.

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  • A 20h30, l'équipe + 16 ans Masculine défendra son avance afin de concrétiser la victoire face à l'équipe de Madiran.+ 16 ans Masculins-800.jpg

Le Club invite les aspois à venir nombreux les encourager ce samedi 14 mai
dans les nouveaux gradins de la salle polyvalente de Bedous.
La soirée se terminera autour d'un verre de l'amitié.


Réactions suite à l'article d'hier sur les transports en vallée d'Aspe :

 

"Le débat de l'intercommunalité suite à la proposition de M.ROSE, me laisse pantois.C'est bien vrai qu'il vaut mieux ne rien faire du tout que d'aller un peu en avant...Les deux maires opposés de fait à la ligne Pau-Canfranc  n'ont -ils jamais pensé que le convoyage des poids lourds par le rail qui s'est avéré rentable par des experts pouvait soulager leur village.Une voie de détournement de Cete- Eygun ne pourrait passer qu'au dessus du gave et de la voie ferrée ....Imaginez le coût du chantier ??? L'immobilisme de la vallée d'Aspe me rend malade ....Surtout quand on le compare au dynamisme des communes du versant sud,autrefois mortes... "

Commentaire n°1 posté par Philippe GAPIN hier à 14h19  -Blog du Baron...-

Dans" la République"

Depuis 2006, et la publication de l' étude indépendante de faisablilité du Cabinet CLARACO mandaté par le CRELOC, le dossier de la réouverture avance lentement. Du coté espagnol, la crise économique actuelle et la précarité financière des autonomies et du gouvernement central ont ruiné les fols espoirs des politiques espagnols d'un tunnel sous les Pyrénées. Acceptant du bout des lèvres la solution de la réouverture tout en remettant aux calendres grecques les travaux de renovation de la ligne conventionnelle : cette manoeuvre dilatoire trouve son "echo " dans la surdité des autorités françaises. Paris mésestime l'intérêt certain de l'intégration du Canfranc dans un réseaau européeen de fret ferrovaire. es alliés locaux du cnafranc sont à l'ouest les associations qui militent contre les travaux phraraoniques de la ligne TGV au pays basques et le manque de trafic dans le tunnel Perpignan-Figueras montre de le partenariat public-privé est déséquilibré et non viable économiquement sans subventiosn publiques d' équilibre.

Quelle solution? Essayons de sortir du schéma actuel. La SNCF et RFF ne veulent pas de la réouverture et surévaluent le cout des travaux pour effrayer les politiques en mal de financements. L' étude CLARACO est au mieux ignorée au pire dénigrée. Seul le volontarisme de la région Aquitaine et la presévérance des associations locales de défense du projet évitent un enterrement de seconde classe. le plus facile a été fait. la parite en basse vallée d' Aspe a été rénovée. Quid de la suite ?

je propose la pose d'une ligne électrique enterrée innvante avec de nouvelles technologies pour justifier de nouveaux travaux et les rentabiliser à moyen terme; Sachez que le projet DESERTEC prévoit un investissement massif en Afrique du Nord de megacentrales solaires. Et comment pensez vous que va se faire le transport de cette electricité à travers les Pyrénees ?. Cette traversée ne doit aps se faire par des lignes aériennes et le précédent de la igne du massif des Albères doit être un exemple réussi.

Les retombées écnomiques de cet investissement technologique dans un cadre écologique bien pensé doivent permettre une participation active de la population de la vallée et de la région à ce challenge pour l' Europe. leur sécurité dans l'intégration européénne et notre prospérité sont à ce prix.

Écrit par : BON.DIA | 10/05/2011


 JOJO...40 ans déjà !!!

 

C'est l'homme qui a vu l'ours

Le 13 mai 1971, Christian Blazquez découvrait à Borce l'un des derniers ours indigènes des Pyrénées. L'animal allait devenir la mascotte de la vallée d'Aspe.

Christian Blazquez a ressorti les photos d'il y a quarante ans, lorsqu'il avait adopté Jojo, l'ours de Borce. PHOTO JEAN-DANIEL CHOPIN
Christian Blazquez a ressorti les photos d'il y a quarante ans, lorsqu'il avait adopté Jojo, l'ours de Borce.
 PHOTO JEAN-DANIEL CHOPIN
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Dans sa maison d'Anglet, Christian Blazquez égrène l'album des souvenirs. Des photos noir et blanc, grand format, le montrent, plus jeune de quarante ans, en compagnie d'un ourson. L'animal, qui grandit au fil des pages, fait partie du patrimoine de la vallée d'Aspe, dont il fut la mascotte deux décennies durant. Il répondait au nom de Jojo et reste, pour l'histoire, l'un des derniers ours indigènes des Pyrénées.

Christian Blazquez avait adopté l'animal après avoir croisé sa route sur les hauteurs dominant le village de Borce. Il était alors éducateur au foyer Clair Matin, qui accueillait dans cette localité montagnarde 80 pupilles de l'enseignement public. C'était le 13 mai 1971, il y a presque quarante ans, jour pour jour.

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« Que faire ? »

« Nous étions partis en randonnée avec un groupe d'enfants en direction de la vallée de Belonce », raconte l'intéressé, aujourd'hui sexagénaire et retraité dans sa ville natale, sur la Côte basque. « Au moment du pique-nique, nous avons entendu des gémissements bizarres. Nous nous sommes approchés et avons découvert un ourson prisonnier d'un trou. Que faire ? Nous l'avons libéré, il était tout petit et ressemblait à une peluche. Mais j'ai tout de suite pris peur, car je craignais de voir déboucher la mère alors que j'étais en compagnie de six gamins. »

Après avoir longtemps hésité, et surtout s'être cachée une heure durant, la troupe décidera de recueillir l'animal, qui ne s'était guère éloigné. De la mère, aucune trace. Il n'y en aura d'ailleurs jamais par la suite non plus. « On est revenus au village au pas de course, en surveillant nos arrières et avec l'ourson installé dans un sac à dos. »

Affamé, le quadrupède se jettera sur la casserole de lait que lui proposeront les enfants. Dans la vallée, la nouvelle fera l'effet d'une bombe. L'ours était depuis longtemps devenu une espèce rare et quasi invisible dans le massif. Et la découverte de ce spécimen orphelin défraya la chronique.

« Pour autant, nous ne savions toujours pas quoi en faire, il n'y avait à l'époque aucune législation en la matière. On n'en était qu'aux balbutiements du parc national. René Rose, le directeur du centre de vacances, qui était aussi le maire du village, était aussi embêté que nous. » De fait, l'animal est finalement resté à Borce, d'abord dans une cage, puis dans un enclos que les enfants du centre lui avaient construit.

« Nous le nourrissions avec les restes du foyer, on le promenait avec une laisse, il s'est habitué à nous et a grandi », raconte Christian Blazquez. Au fil des années, l'ours Jojo est devenu l'attraction de la vallée. Et il a sans doute beaucoup contribué à la réputation de ce village accroché aux pentes des Pyrénées, en devenant avec le temps l'ours de Borce.

« Les gens venaient de partout, et même de loin parfois, pour le voir », se souvient son découvreur.

Dans l'album, les articles de presse de l'époque s'accumulent et disputent la place aux nombreuses prises de vue.

L'ours y joue avec les petits, pose avec les visiteurs. Sur un cliché, où il a déjà bien pris de l'épaisseur, on voit l'animal derrière les barreaux avec son maître improvisé. « Je mettais des gants pour me protéger des griffures, je n'avais pas peur qu'il me morde, bien qu'à partir d'un moment il soit devenu si fort qu'il aurait pu me déchiqueter le bras », lance Christian Blazquez.

« Un jour, je ne sais plus comment cela s'est produit, il est parvenu à s'échapper. On a heureusement réussi à le rattraper rapidement, puis à le rabattre vers le centre. Mais il n'a pas voulu rentrer dans sa cage. C'est finalement à l'aide d'un bâton couvert de miel que nous l'avons attiré à l'intérieur. »

« Enfin, il est libre ! »

Avec le temps, l'ancien éducateur se demande si, à l'époque, la décision de garder l'animal a été une bonne ou une mauvaise chose. « Parfois, je me dis que cet ours aura passé sa vie en cage », dit-il. « Mais qui sait s'il aurait survécu si nous l'avions laissé livré à lui-même dans la nature ! Et puis, je me raisonne en me disant que sa présence aura permis de mieux faire connaître la vallée d'Aspe. »

Le jour de la mort de Jojo, son père adoptif avoue qu'il a mis du temps à réaliser. C'était en 1991, vingt ans après sa découverte. Christian Blazquez avait alors quitté la vallée d'Aspe et travaillait à Cambo, au Pays basque. « J'ai appris la nouvelle par téléphone, je suis resté sans voix. Puis j'ai pensé au fond de moi-même : enfin il est libre ! »

L'ours de Borce est mort loin de sa vallée natale, dans le zoo de Thoiry, en région parisienne, où il avait été soigné à la fin de sa vie, parce qu'il était malade. Il a ensuite été ramené sur ses terres et se trouve aujourd'hui, empaillé, au musée du Parc national des Pyrénées, qui est installé dans l'ancienne gare d'Etsaut. « Je n'y suis jamais allé, je préfère garder le souvenir de Jojo vivant », dit Christian Blazquez. « Cette histoire, c'est l'aventure de ma vie, je m'en souviens comme si c'était hier. »


 

 
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Le nouvel ours introduit en juin ?

Selon Jean Lassalle, la nouvelle ourse sera bientôt réintroduite en Béarn.

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« Ils vont la déposer par hélicoptère sans rien dire et ils diront qu'ils l'ont lâchée après coup », craint le maire d'Osse-en-Aspe, Pierre Isson. Le sujet de l'ours a encore été abordé  à Oloron, au cours de la réunion du conseil de gestion de l'Institution patrimoniale du haut-Béarn.Reste à savoir quand cette ourse destinée à remplacer Franska arrivera en Aspe ou en Ossau. « Plutôt à la descente des troupeaux, en septembre », pensait il y a peu Jean Lassalle (
Mais le président de l'IPHB a annoncé que cette arrivée serait sans doute plus rapide. « Mes informations viennent de la députée des Hautes-Pyrénées Chantal Robin-Rodrigo qui est en même temps secrétaire générale de l'Association nationale des élus de la montagne (Anem). » Jean Lassalle a demandé des nouvelles de l'ours à sa collègue des Hautes-Pyrénées. « Tu n'es pas au courant ? » lui a-t-elle répondu. « C'est décidé. Ce printemps, nous avons revu à plusieurs reprises Nathalie Kosciusko-Morizet [ministre de l'Écologie et du Développement durable NDLR]. Elle nous a annoncé que l'ourse arriverait en juin. »

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Deux ours photographiés

Le député s'est dit surpris d'apprendre cette nouvelle de la sorte, surtout provenant d'une élue qui a toujours manifesté son hostilité à toute réintroduction d'ours. « Je lui ai dit que si je ne le lui avais pas demandé, elle ne me l'aurait pas annoncé alors qu'on avait décidé d'organiser la résistance et de lutter ensemble », s'est-il étonné. Mais le directeur de l'Anem lui a confirmé les propos de la ministre. « Il semble que la réintroduction de cette ourse contre laquelle nous avons manifesté est amorcée », a conclu Jean Lassalle.

Au même moment, l'association Pays de l'ours-Adet, qui, elle, milite pour les réintroductions, annonce que les premières photos d'ours ont déjà été prises cette année. « Les appareils photo automatiques installés par l'équipe ours de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage ont commencé à nous livrer leur moisson d'images et ça commence fort », dit son site www.paysdelours.com. Les deux premières photos, publiées sur ce site, ont été prises par le même appareil, installé sur la commune de Melles (31).

« La première montre un jeune ours, d'après la taille, peut être une femelle », commente l'association. Quant au second cliché, l'ours est identifié. « Il s'agit du mâle Pyros », affirme Pays de l'ours-Adet qui ajoute que cette photo a été prise quelques heures après. Et de rêver à un accouplement, car c'est la période ! « Il faudra toutefois attendre le printemps prochain pour tirer des conclusions définitives », tempère l'association *


L'IPHB, un organisme toujours sous contrôle

Voté début mars, il sera à nouveau contrôlé par la Chambre régionale des comptes.

Jean Lassalle, ici avec le maire de Lescun, prend tous ces contrôles avec philosophie. photo M.B.
Jean Lassalle, ici avec le maire de Lescun, prend tous ces contrôles avec philosophie. photo M.B.
 
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«Nous allons demander l'inscription au Guinness Book des records pour le nombre de contrôles demandés par la Chambre régionale des comptes », a souri Jean Lassalle. Le président de l'Institution patrimoniale du haut-Béarn (IPHB) ouvrait la séance de travail du Conseil de gestion patrimoniale. « Nous avons voté notre budget très tôt, le 7 mars. Mais ça ne nous a pas empêchés de recevoir une lettre de la Chambre régionale des comptes qui nous dit qu'un commissaire viendra à nouveau dépouiller nos comptes pour les exercices précédents, de 2006 à 2010, c'est-à-dire des exercices que la Chambre a préparés elle-même », s'est-il étonné.

Sur 12 exercices budgétaires, six ont en effet déjà été contrôlés par la Chambre régionale des comptes. Et un double contrôle est en cours, portant sur le jugement des comptes pour les exercices 2006, 2007, 2008 et 2009 et sur un contrôle de gestion depuis l'exercice 2006 « jusqu'à la période la plus récente », visiblement y compris celle de 2011. Mais le président de l'IPHB dit ne pas s'offusquer outre mesure de ces contrôles répétés. « Nous vivons uniquement avec de l'argent public. Compte tenu de la responsabilité qui est la nôtre, ces contrôles ne m'ennuient pas plus que ça. En tout cas, personne ne pourra dire qu'on ne sait pas ce qui se passe à l'Institution patrimoniale du haut-Béarn », affirme-t-il.     *7 Mai 2011 *


 

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Les héliportages

Gratuits ou non ?

 

Les héliportages se feront les mardi 7 et mercredi 8 juin pour les montagnes basses et les mardi 21, mercredi 22 et jeudi 23 juin pour les montagnes hautes.

Mais l'an dernier, ce service, dont la gratuité avait été annoncée par l'État, a coûté 92 000 €. « Or nous n'avons perçu que 82 000 € », a précisé Didier Hervé, directeur de l'IPHB. Aucun complément n'a été demandé aux éleveurs mais l'IPHB ne pourra pas se permettre de combler un nouveau déficit. « Si on dépasse la somme allouée, on demandera aux éleveurs de participer. » « Mais alors, on ne dit pas que c'est gratuit », a plaidé le maire de Sarrance Jean-Pierre Chourrout.

La réforme des collectivités

La réforme des collectivités territoriales préoccupe aussi le président de l'IPHB. « C'est un événement majeur », estime-t-il. « Il ne faudrait pas qu'il arrive à nos trois vallées ce qui est arrivé aux Pyrénées il y a une vingtaine d'années, quand les Régions sont montées en puissance. Il n'y a plus que des bouts de Pyrénées parce que ce sont trois budgets qui les traitent : le Midi-Pyrénées, le Languedoc-Roussillon et l'Aquitaine. » Jean Lasssalle craint que la réforme qui se mettra en place avant la fin de l'année refasse dans le 64 « trois autres bouts de Pyrénées pris dans des morceaux différents », avec des collectivités constituées « d'un bout de montagne et d'un bout de plaine ».

La fin des petites communes ?
 Jean Lassalle prêche pour « tout ce qui peut se faire au plus proche du terrain ». Or, les nouveaux territoires seront imposés. « Ce qui est inscrit en filigrane dans cette loi, c'est la fin des petites communes », pense-t-il. « Les conseillers communautaires seront élus au suffrage universel comme le maire. Qu'est-ce qui va lui rester à faire, au maire, au milieu de ces grands ensembles ? » se demande-t-il, en promettant que l'Institution patrimoniale ne sera pas absente de ces débats. « Nous resterons le seul organisme qui puisse faire parler l'ensemble de la zone montagne de notre département », avance-t-il.

Jean Lassalle espère toutefois pouvoir discuter plus sereinement de ces dossiers avec le préfet François Ceccaldi. « On a de la chance d'avoir un préfet aussi expérimenté », juge-t-il. « Il a animé le département de la Corrèze avec la cohabitation entre Chirac et Hollande à l'époque », plaisante-t-il en ajoutant que le nouveau sous-préfet d'Oloron, Jean-Michel Delvert, lui fait une tout aussi bonne impression*


 

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   "Une escroquerie ,?? C'est une bonne affaire qui a rencontré une  mauvaise loi !!"                     Alfred Capus *


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