*Lesc'infos d'été *Dijaus 26 de Julhet *
:0038: *Bonjour et bienvenue !!* Au menu du jour : Orages en vue...L'Abérouat *Cette-Eygun * Sarrance * Une sortie * Un ciné * Etsaut *...et la PRUDENCE !
Un coup pour rien, la réunion extraordinaire du conseil de communauté de communes a été hier soir annulée, faute de quorum : 10 élus présents plus une procuration alors qu'il aurait fallu 16 conseillers pour délibérer. "Une première pour cette mandature" a signalé le président René Rose qui a annoncé une nouvelle convocation pour le lundi 30 juillet, une réunion qui aura lieu puisque le quorum ne sera plus nécessaire pour les délibérations.
Deux raisons évoquées par les élus qui ont prévenu de leur absence : le décès très proche de Jean-Roger Coustet, par respect à l'homme, mais aussi les réunions à limiter en juillet et août. Notons que le conseil s'était réuni le 13 juillet dernier.
25/07/2012
Un barrage d'élus avec leur écharpe tricolore au milieu de la route, les automobilistes qui circulaient sur la RN 134 ont dû prendre leur mal en patience à deux reprises ce mercredi matin. "Mais cela ne dure que 15 minutes" précise Jean Gastou, maire de Cette-Eygun qui a accueilli dans sa commune le collectif RN134 - Pau – Somport E7.
Objectif : sensibiliser les utilisateurs de la route à la nécessaire sécurisation de la RN134 et de l'ouverture urgente des déviations pour les villages d'Oloron, Bidos, Gurmençon, Arros-Asasp, Cette-Eygun et Urdos.
En dehors de ce blocage total, le filtrage des véhicules a duré toute la matinée, entrainant manifestations de soutien mais aussi mécontentements.
Ils étaient une bonne centaine, membres du collectif, élus et conseillers municipaux, et population pour cette manifestation bon enfant, mais déterminée.
"Nous devons garder la mobilisation, a tenu à rappeler Jean-Claude Elichiry, maire de Buziet, et président du collectif. En août, nous poursuivrons notre campagne d'information avec les pétitions proposées dans les centres commerciaux." Et de se réjouir pour cette nouvelle action de la présence de 11 communes de la vallée, maires ou adjoints auprès des maires d'Escou, Gurmençon, Asasp-Arros, Bernard Uthurry, maire d'Oloron étant excusé.
Ce samedi 28 juillet, l'écomusée de la vallée d'Aspe propose une marche culturelle transfrontalière entre Lescun et Hecho par le col de Pau.
Elle sera accompagnée par Gérard Blasco, auteur de l'antique chemin de Compostelle mais également par un agent du Parc National des Pyrénées et les Raconteurs de Pays de l'Ecomusée.
Départ prévu à 7h15 d'Accous. Retour en bus. Dénivelé de 800m avec 6h de marche agrémentée de pauses pour appréhender l'histoire des lieux, la faune et la flore.
Inscriptions obligatoires (il reste encore quelques places) au 05 59 34 57 65
24/07/2012
Ce sera leur première sortie en Aspe, dimanche 29 juillet à Etsaut, au milieu d'un été qui les voit se produire sur de nombreuses scènes du grand sud-ouest. SASP offrira un bal gascon nouvelle génération dimanche à 17h à la Fête du Fromage d'Etsaut. Une musique colorée, péchue, sensuelle…
Mais qui sont-ils ?
- Lionel Laborde à la flûte et au tambourin à corde, auteur des textes qu'il a mis en voix,
- Patrick Naudy à la boha, mais aussi la clarinette,
- Bruno Bluteau au violon, violoncelle, mandoline mais aussi bouzouki,
- et Sandrine Claverie, féminine de l'étape, bien connue en vallée d'Aspe où elle enseigne l'accordéon à Clarina, après avoir sévi il y a quelques années avec Vath d'Aspa.
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Véhicules dégradés à Sarrance (64) : des mineurs avouent
Trois mineurs de 15 et 16 ans sont à l'origine de dégradations perpétrées sur des voitures lors des fêtes de Sarrance
Les auteurs des dégradations de véhicules commises dans la nuit du 21 au 22juillet dernier ont été retrouvés par la gendarmerie. Trois plaintes pour dégradation avaient été déposées après les fêtes de Sarrance.
Les auteurs sont trois mineurs de 15 et 16ans. Ils ont avoué leurs actes. Leurs parents se sont engagés à dédommager les victimes.
Les trois jeunes seront convoqués pour un rappel à la loi.
Reportage : coup de jeunes à l'Abérouat
À Lescun, chaque saison, colonies et scolaires investissent le refuge de l'Abérouat. Là, les jeunes sont sommés de se bouger et de lâcher leur téléphone.
http://refugeaberouat.blogspot.fr/
«De toute manière, même s'ils voulaient fuguer, ils ne le pourraient pas », finit par couper court une animatrice. Qu'elle se rassure, au refuge de l'Aberouat, à quelques hectomètres de Lescun, les minots pensent davantage à caresser brebis et nuages qu'à mettre les voiles pour fuir les verts pâturages.
« Ici c'est la vraie vie, persuade Johanna, la directrice du lieu. Il y a parfois des débuts difficiles. Mais les enfants apprennent vite à se détacher des choses matérielles dont tout le monde est dépendant. » Premier objet ciblé : le téléphone portable évidemment. Là-haut, l'absence totale de réseaux rend désuète sa plus banale utilisation.
Montagne pour tous
« On se parle beaucoup plus sans, reconnaît Mathilde, venue à l'Aberouat pour s'essayer au parapente. Et puis, on a plus de temps pour se nourrir des paysages », figure-t-elle. Sans vraiment savoir que beaucoup d'autres enfants ont avant elle grimpé là-haut et qu'ils y dévorèrent des yeux ces sublimes tableaux.
L'origine du refuge remonte au XIXe siècle. À l'époque, une source d'eau chaude coulait non loin de là. Une cahute fut alors construite pour permettre aux gens de Lescun de se ravitailler après avoir pris leur bain. Mais à la suite d'un éboulement de terrain, la source perdit sa chaleur. Si les bains disparurent, la cahute demeura. Ce n'est finalement qu'après la guerre, en 1919, qu'elle devint un véritable refuge de montagne.
Propriété de la commune de Lescun, l'Aberouat est aujourd'hui loué par la Ligue de l'Enseignement des Pyrénées-Atlantiques. Et l'association s'efforce de poursuivre le rêve que nourrissaient il y a près de 80 ans Henri Barrio et Jean Dutech, deux instituteurs en poste dans la vallée : celui d'une montagne sociale. Un espace dont les charmes seraient accessibles à tous, et particulièrement aux plus jeunes.
Tout commença peu après la seconde guerre mondiale, lorsqu'à l'été 1946, l'Aberouat reçut ses premières colonies de vacances. À l'hiver 1947, la première classe de neige de France y posa ses valises. Et l'on devine aisément quel enchantement on eut alors pu lire sur le visage des mômes dont c'était la première excursion en altitude.
Equipe de tournage refoulée
Sur les 85 places que compte aujourd'hui le refuge, 70 sont réservées à l'accueil des classes vertes et des colonies de vacances. Les 15 autres restant à la disposition de randonneurs en escale.
La proportion en dit long sur la politique du refuge. L'équipe de tournage de « La Belle Vie », un long-métrage réalisé par Jean Denizot, a récemment fait les frais de cette politique. Une scène du film devant se tourner à Lescun, l'équipe désirait se loger à l'Aberouat. « Priorité aux enfants », répondit poliment sa directrice. Et pourtant, à en croire la gardienne des lieux, cette politique est aujourd'hui malmenée. « Ça devient très difficile de mettre un gamin dehors », dévoile Johanna Taltone. « Avec les nouvelles normes, tout devient aseptisé. Ce que nous voulons, c'est pousser le môme dehors et lui dire ''vas-y, apprend, n'aie pas peur !'' Mais ça devient de plus en plus compliqué », résume t-elle.
Libertaire l'Aberouat ? « Ah oui, carrément », rigole Johanna Taltone. Mais pas au point de se faire la malle.
http://refugeaberouat.blogspot.fr/
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/bearn-et-soule/oloron-et-haut-bearn/
(Archives PP / N.S.)
à 11h19, les pompiers ont été alertés. Un homme de 70 ans venait de faire une chute de 20 mètres sur la commune de Sarrance, au pied du trône du Roi. Les pompiers du GMSP sont intervenus avec l'hélicoptère Dragon 64. L'homme, médicalisé sur place, a été transporté vers le centre hospitalier de Pau.
A 12h38, une autre alerte a été donnée. Une femme a été victime d'une fracture dans le canyon de Brousset, sur la commune de Laruns. L'hélicoptère de la gendarmerie s'est rendu sur place avec des hommes du peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) des Hautes-Pyrénées.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/bearn-et-soule/oloron-et-haut-bearn/
Un homme de 70 ans a trouvé la mort hier soir vers 20h, écrasé sous son tracteur.
C'est son neveu, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, qui a alerté les pompiers. Ces derniers et le Samu, arrivés sur les lieux, n'ont pas pu ranimer le septuagénaire.
Agriculteur à la retraite, François Sabathé rentrait à son domicile dont l'accès est un chemin en pente bordé par un fossé et un ruisseau. Le tracteur s'est retourné dans le fossé, écrasant le malheureux.
Les évangiles ne parlent pas de l’enfance de la mère de Jésus. Mais la tradition, dès les premiers siècles, appellent les parents de la Vierge Marie, Joachim ("Dieu accorde") et Anne ("La grâce - la gracieuse").
Les auteurs des évangiles apocryphes multiplient les anecdotes. Joachim et Anne étaient vieux et sans enfant mais l’ange du Seigneur annonce une naissance, le vieux couple s’embrasse sous la porte d’Or de Jérusalem et Marie est conçue.
Le Maître de Moulins (Jean Hey), vers 1500
Charlemagne et la rencontre de sainte Anne et saint Joachim à la Porte Dorée
Copyright © 1997 National Gallery, Londres
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