*Lesc'infos de Dimèrcs 19 de Seteme *

Publié le par le baron de lescun

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 Peinture  Marcel ABBADIE *   http://marcel.abbadie.info/


 

:0038:    Bienvenue !  * Du handball,de la couture ,un foyer rural actif ,les 6èmes à l'Abérouat...Un poète...Sécheresse et vautours... * C'est l'info du jour...*


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18/09/2012

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A peine une semaine après la rentrée, les sixièmes du Collège d’Aspe ont passé 4 jours au centre de l’Abérouat à Lescun. Pas vraiment des vacances quand même pour ce séjour d’intégration. A travers un régime d’internat, et des activités de pleine nature, il s’agit de faire connaissance. Les jeunes entre eux, mais aussi avec les enseignants qui sont tous venus partager une journée et une nuit.

« Cela permet un autre type de relation plus détendue, ludique, mais aussi de repérer des aspects de la personnalité du jeune, ce qui est moins facile dans le cadre formel de 3 heures de cours par semaine» reconnait Hélène Brette, professeur d’histoire-géo.

Une autre façon également de démarrer le programme : en géo, il est prévu la découverte de l’environnement proche : sur le terrain, à partir des crêtes, la lecture de paysage est l'occasion de rentrer dans les détails de la vie. Pour les SVT, les collègiens ont fait des prélèvements avec leur enseignant.

Des sorties plus sportives ont eu lieu, escalade, VTT, course d’orientation un peu perturbée par la météo peu clémente. Des animations avec le Parc National ont été également programmées mercredi, puis vendredi à la maison du Parc à Etsaut, des partenaires que les jeunes retrouveront dans le cadre des actions menées conjointement avec le Parc.

L’année de travail a bel et bien débuté pour les deux classes de sixième du Collège.


 

DSC01571-800.jpgLes plus jeunes ont démarré vendredi avec Lisa Heleno,la nouvelle animatrice : on peut encore s'inscrire aux heures de cours le vendredi salle de danse du château Lassalle à Bedous,

  • 17h jazz 1 pour les 5 à 7 ans,
  • 18h : jazz 2 pour les 8-10 ans,
  • 19h : hip-hop pour les plus de 9 ans,
  • 20h : jazz avancée pour les plus de 11 ans.


AU TOUR DES ADULTES CETTE SEMAINE :

  • la gymnastique d'entretien avec Monique reprendra le jeudi 20 septembre à 18 h30 à la salle polyvalente de Bedous.
  • le Fitness avec Nolwenn, le lundi 24 septembre à 17 h15 puis un second cours à 18h30 à 19h30 dans les locaux de la GMSL à Accous.
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Rébénacq : un poète pyrénéen et artiste

http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2012/09/18/un-poete-pyreneen-et-artiste,1097956.php

 

Marcel Abbadie présente son ouvrage "Com la gèira a las pèiras de la nueit".

Marcel Abbadie présente son ouvrage "Com la gèira a las pèiras de la nueit". (Jacques Isnard)

Marcel Abbadie, natif de Rébénacq, présente son dernier ouvrage bilingue "Com la gèira a las pèiras de la nueit" ("Comme du lierre aux pierres de la nuit") publié par les éditions Per Noste d'Orthez. Ce recueil propose 70 poésies en français et dans une version occitane (béarnais-gascon, graphie normalisée).

Une douzaine de ces poésies font appel à des souvenirs d'enfance. La dernière, primée à l'Académie des Jeux Floraux de Toulouse a été choisie comme titre du recueil.

Cet ouvrage fait suite aux six livres précédents écrits alternativement en français et en occitan et au recueil de poésie "Quand l'heure est incertaine", prix de la ville de Pau en 2008. L'auteur aura un stand à la fête du fromage à Laruns, du 6 au 7 octobre prochain où il présentera, outre ses livres, quelques peintures et sculptures sur bois. Il sera également présent au salon du livre de Pau qui se déroulera à la médiathèque André-Labarrère où il proposera en particulier la réédition de son livre "Pierre l'Ours". L'auteur précise qu'il ne touche aucun droit d'auteur sur ces ouvrages. Leur but n'étant que la promotion de la langue et de la poésie béarnaise.

Les ouvrages de Marcel Abbadie

"Pierre l'Ours" ("Pèir l'Ors"), "Pierre l'Ours voyage dans la préhistoire" ("Pèir l'Ors viatge a la preïstoria"), "Légendes pyrénéennes" ("Legendas pirenencas"), "Quand l'heure est incertaine", "Comme du lierre aux pierres de la nuit" ("Com la geira a la peiras de la nueit").

 

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La saison a repris pour le Handball Club Aspois et dès ce samedi 22 septembre, les premiers matches se joueront à domicile.

  • 19h15, les féminines recevront l’Entente Nousty-Lée-Ousse. Une équipe rajeunie qui fait une bonne rentrée, avec 15 joueuses. Elles sont encadrées par Céline Mange, une ancienne joueuse de l’HBCA.
  • 21h15, les hommes recevront l’Entente Anglet-Biarritz. Cette année, l’entraineur Jean-François Come les verrait bien se qualifier pour passer en régional.

Un objectif ambitieux et sympathique au niveau sportif, mais inquiétant pour l’association. «Nos principaux frais sont les transports pour les déplacements des équipes » confirme la présidente Francine Berges. Nous devons faire très attention à nos finances, et c’est pour cela que lorsque nous recevons à domicile, nous proposons buvette et vente de gâteaux. C’est une manière de soutenir le club ! » D’autant plus que depuis que la salle polyvalente a été rénovée, les conditions d’accueil se sont nettement améliorées.

 

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Les équipes jeunes reprendront le chemin de la compétition le 29 septembre : quatre équipes engagées : les garçons de moins de 11 ans encadrés par Alex Olivier et les moins de 13 ans encadrés par Francine Berges.

Chez les filles, les moins de 13 ans sont encadrées par Doris Bourdaa, et les moins de 15 ans par le duo Santiago Lobato et Rose-Marie Apouey.

Et cette année, comme l’an passé, le Handball Club Aspois a deux joueuses sélectionnées pour les cours de préparation aux sélections, Capucine Loiret et Lola Devals. A noter également que c’est ce vivier qui alimentait à 80% l’équipe benjamine du Collège d’Aspe qui a été qualifiée en finales Académique la saison dernière.

 

Les plus jeunes sont accueillis à partir de 6 ans à l’école de Handball « nous avons jusqu’au 15 décembre pour former l’équipe encadrée par Nathalie Apouey. Maintenir les effectifs du club avec 90 licenciés, est aussi l’un des objectifs de la saison du HCBA.


Sainte Emilie est une religieuse aveyronnaise morte en 1852.


Emilie de Rodat était née en septembre 1787 près de Rodez, elle passa sa jeunesse à Villefranche de Rouergue, la misère y était grande et la Révolution puis l’Empire avaient désorganisé les écoles qui existaient précédemment sans les remplacer. Elle voulut devenir l’institutrice des pauvres.

En mai 1816, aidée de trois compagnes, elle ouvrit la première classe gratuite. Très vite, les enfants affluèrent et aussi d’autres jeunes filles désirant partager la vie d’Emilie. Ainsi, elle se trouva fondatrice, malgré elle, d’une Congrégation qui, en 1822, prit le nom de « Sœurs de la Sainte-Famille ». A sa mort en 1852, quarante maisons avaient été fondées dans différents pays.

medium_emilie_en_gloire.2.jpgMais malgré cette réussite, la vie spirituelle d’Emilie ne fut pas simple, pendant 20 ans, sans que personne ne s’en doute, elle crut avoir perdu la foi et l’espérance et ce ne fut que dans les dernières années de sa vie qu'elle recouvra la paix intérieure et que Dieu lui fit sentir à nouveau son amitié *

http://prenomdujour.over-blog.com/

 

    On fête aussi les JANVIER ,dont le sang conservé dans une ampoule se liquéfie chaque année depuis le XVème siècle, à Naples *   

  Qui sème à Saint Janvier de l'an récolte le premier  *


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Météo : un été au chaud et au sec

L'été qui s'achève aura été particulièrement chaud et sec dans certains endroits du département, révélant une sécheresse endémique.

Les traînes de pluie qui ont arrosé le Béarn hier soir, comme le temps frisquet qui fait déjà oublier l'été, ne doivent pas nous tromper. Les sols ont encore soif dans les Pyrénées-Atlantiques. C'est particulièrement vrai sur la Côte basque, mais aussi dans les montagnes, dans une moindre mesure, ou encore dans l'ouest et le nord du Béarn, qui tutoient les Landes elles aussi touchées par le phénomène.

Le constat, beaucoup l'ont fait, depuis les montagnes basques où l'on ravitaille en eau certaines brebis par camions-citernes (lire en pages 2 et 3), mais aussi dans plusieurs cantons de l'ouest Béarn, où les stocks de foin pour l'hiver ont déjà été entamés.

Des sols secs

Si elle rechigne à parler de sécheresse pour la seule partie béarnaise - « j'ai travaillé dans le Gers six ans, notamment en 2003… » -, la déléguée départementale de Météo France, Eliane Ducasse, convient que l'eau vient à manquer. La courbe de l'humidité des sols approche celle de 1962, année parmi les plus sèches sur Pau et les environs.

« On observe une année pareille tous les dix ans seulement en moyenne », explique-t-elle.

La faute à cet été où il a fait beau, particulièrement au mois d'août. La carte établie par Météo France sur la moyenne des précipitations sur juin, juillet et août dans les Pyrénées-Atlantiques (voir ci-contre) montre pourtant qu'une partie du Béarn a été relativement épargnée par le phénomène. C'est cette zone en bleu clair, autour de Pau et le long des coteaux qui filent vers le sud, qui montre que les précipitations ont été légèrement au-dessus de la moyenne.

Le mois de juin, plus pluvieux que d'habitude, et les deux orages remarquables du 27 juillet (1) et du 5 août auront suffi à préserver cette partie du département. Mais depuis, les précipitations se sont taries ici aussi, même si la situation se révèle plus préoccupante du côté du Labour ou de la Basse-Navarre, côté basque.

 LIRE LA SUITE :  http://www.sudouest.fr/2012/09/19/un-ete-au-chaud-et-au-sec-824691-3985.php


Aste-Béon : l'aire d'équarrissage controversée

La placette de dépôt de dépouilles de bétail autorisée en Ossau ranime la polémique autour des attaques de vautours sur les troupeaux

La placette d'équarrissage d'Aste-Béon ne fonctionnera pas en période de nidification.
La placette d'équarrissage d'Aste-Béon ne fonctionnera pas en période de nidification. (Archives Guillaume Bonnaud)

Si le feu vert du préfet donné le 4 septembre dernier à la placette de dépôt de dépouilles de bétail, au port d'Aste (commune d'Aste-Béaon), satisfait le groupement d'éleveurs de ce village, ainsi que son maire, Augustin Médevielle, promoteur de la Falaises aux vautours (1993), il laisse pour le moins insatisfait le président de la Chambre d'agriculture, Jean-Michel Anxolabéhère.

« C'est une mesure très partielle, qui ne réglera rien par rapport au problème qui est soulevé, dit ce dernier : la prise en compte des dégâts subis sur les troupeaux par les attaques de vautours. » Le président rappelle ce qui s'était passé, en Navarre et Aragon, quand ont été fermés (2006) les « muladres », ces charniers liés aux élevages de porcs : « Des vautours qui crevaient la dalle ont fini par attaquer le vivant. »

Équarrissage naturel

En principe, les éleveurs ont l'obligation de faire appel à l'équarrisseur pour toute bête morte, quand les troupeaux sont redescendus des estives. Ils payent pour cela une redevance, assise sur le nombre de bêtes, de l'ordre de 150 euros par an. « Mais il en coûte 450 euros quand il faut enlever une jument ! » souligne Augustin-Médevielle, maire d'Aste-Béon.

Avec la placette, les treize éleveurs du village - et eux seulement - pourront venir déposer les carcasses de leurs animaux morts durant l'hiver. À travers cet équarrissage naturel, « l'idée est d'être en règle avec la loi et de rendre un service gratuit aux bergers », résume M. Médevielle.

La placette sera aménagée par la commune, avec des aides du Parc national et de la Dreal d'Aquitaine dans une ancienne ardoisière. Le site, commode d'accès, sera clôturé. L'arrêté du préfet décrit minutieusement les conditions de fonctionnement de cette installation expérimentale, autorisée pour un an. La quantité maximum de cadavres déposés simultanément ne devra pas excéder 500 kilos. L'aire ne sera pas alimentée pendant la période de nidification, pour ne pas favoriser la reproduction des vautours fauves.

En conséquence, Augustin Médevielle nie vigoureusement qu'il s'agisse d'une « aire de nourrissage » qui ne dirait pas son nom.

Natalité en chute libre

D'ailleurs, la fameuse colonie de vautours d'Aste-Béon, qui compte entre 200 et 250 sujets adultes, voit sa natalité s'effondrer depuis trois ans. On ne compte plus que 15 à 20 jeunes à l'envol par an, au printemps, contre 70 à 75 précédemment.

Le maire d'Aste-Béon invoque pour son village une vraie « culture des vautours » - la réserve gérée par le Parc national a été instituée en 1974.

Elle fait que ses éleveurs ne redoutent pas les « désastres » sur le cheptel vivant redoutés ailleurs.

Pour autant, l'élu ne nie pas qu'il puisse y avoir attaque de rapaces lors d'un vêlage difficile, par exemple, et juge que ces cas, pour aussi rares qu'ils soient, doivent être indemnisés.

Mais il ne mésestime pas non plus les risques de contamination de maladie par le camion de l'équarrissage. « Le vautour, lui, est un cul-de-sac épidémiologique. »

http://www.sudouest.fr/2012/09/18/l-aire-controversee-823911-3986.php

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Publié dans ACTUALITE

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M
<br /> Merci pour la découverte!! les sclptures sont superbes, et les tableaux semblent être tous de l'huile et non de l'aquarelle.<br /> <br /> <br /> Bisous Baron<br />
Répondre
L
<br /> <br /> Il fallait le regard de la professionnelle !!!!Peintures en effet !! * Merci *<br /> <br /> <br /> <br />