Dissabte 26 de Heurèr .

Publié le par le baron de lescun

 *Retour en force de la neige..*


neige w-end 27 02Lachainemeteo.com

 

 *Saint NESTOR *

saint nestor 26 02 Pour la plupart d’entre nous, Nestor c’est d’abord le domestique des frères Loiseau, dans Tintin, qui reste ensuite à Moulinsart au service de nos héros. Mais saint Nestor ? Encore un martyr, avec sa succession de supplices. Nestor est évêque de Magydos en Pamphylie, en Turquie actuelle. Il apprend une nuit que le préfet de la ville a décidé de mettre à exécution le décret de persécution des chrétiens édicté par Dèce. Sans attendre, il convoque ses fidèles et leur demande de fuir à la campagne.

Seul, il reste dans sa maison et attend l’arrestation. Le préfet avait dit: «Tant que nous n’aurons pas l’évêque entre les mains, nous ne pourrons rien contre les chrétiens.»
Simulacre de procès et de déférences, pour le faire abjurer. Nestor garde son calme et sa détermination. Il est renvoyé devant une instance supérieure à Perge. Même scénario.
Le jugement est sans appel: «Nestor, puisque tu n’a pas voulu obéir au victorieux empereur, ni aux dieux immortels, puisque tu es voué, comme je le vois, au Christ crucifié sous Ponce Pilate, tu subiras la même peine que lui. Tu seras crucifié!» Et il en fut ainsi. Jusqu’à son dernier souffle, il continue de parler du Christ. Certains de ses bourreaux, émus par cette constance, se convertissent. C’était en 250.

 A la Saint Nestor,le vent souffle fort...


*Hier dans le cirque...*

 

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Depuis la cabane det Caillau *


Rencontre avec un Milan royal...

 

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 *Photos BdL *


*Le billet de Mr.Rose sur hahd.fr *

 

Sur les sentes du hameau d'Aubise.

Vendredi 26 février

. Que fais-tu René cet après-midi? Je vais t'étonner, j'abandonne les dossiers et je pars marcher vers le hameau d'Aubise. Tu me surprends, ne rentre pas trop tard.
Les jumelles, de bons tennis, le bâton et me voilà parti en voiture jusqu'au pied de l'étroite route à la sortie du Baralet, à la hauteur de la ferme Apiou dont les multiples toits de vieille ardoise et la succession de bâtiments de pierres me plonge chaque fois dans un respectueux souvenir de ces bâtisseurs, ces femmes et ces hommes de la montagne, maîtres de ces pentes par leur labeur, leur bon sens rural , leur solidarité et leur ingéniosité.


A vrai dire,je vous l'avoue, je l'avais sentie, je l'avais devinée cette exceptionnelle après- midi de soleil, de lumière, de douceur .Oui! un moment très court à savoir saisir pour savourer ces instants de bonheur, de bienheureuse douceur que nous aimerions partager avec tant d'êtres humains qui ne connaîtront jamais la beauté, l'ambiance, de cette immensité montagnarde aujourd'hui entourée de crêtes enneigées immaculées par les flocons de la dernière nuitée.
Un arrêt à la maison de Marie, faire semblant de prendre les quatre marches et se mettre à rêver en plongeant le regard vers le village d'Urdos.Combien d'images, combien de phrases traversent ma mémoire me transportant vingt-cinq années en arrière tout en me figeant dans une rétrospection qui m'émeut et me saisit.


Le sentier qui mène à la ferme Labourdègne est déjà bordé des premières fleurs qui semblent hésiter à sortir de la terre encore froide comme craignant un nouveau coup de gel. Les fortes pluies récentes nous offrent de multiples filets d'eau rieuse à travers feuilles et pierres contrastant avec nos images de l'été.


Sur ce splendide belvédère d'Aubise, au quartier LACAZETTE, la maison Labourdègne récemment rénovée
m'offre enfin une zone de repos et surtout dans le creux de ma main expérimentée de belles gorgées d'eau plus que fraîche, volées à la cascade permanente de l'abreuvoir fait de lauzes et certainement plus que centenaire.
Alors me vient une idée. Faire partager à Frédéric que je devine dans son bureau de Laroin cet instant que je vis et qui va le rendre fou de jalousie amicale tant il aime sa vallée et ces pentes qu'il sonde à la recherche de sources domptées pour desservir les résidences environnantes.Il partage mon immense plaisir et se promet de me rendre la pareille.Bon week-end quand même Frédéric!

¨
Plus haut le COURAÛ de Marcel semble attendre sa venue comme si déjà cette exceptionnelle journée, comme d'été,annonçait son arrivée.


Prenons la route pentue d'Aubise, accélérons le pas car le soleil semble vouloir se cacher derrière la " Mèze" si chère aux Bergers de Banasse. Je sens que les chevreuils vont sortir à l'orée blanchâtre des si nombreux bouleaux des Coundres. Les prairies du Bérat du bas sont dans l'ombre. La typique rue d'en bas d'Urdos contraste avec le secteur ensoleillé du quartier du haut.Un arrêt à la maison "Troussilh", à la maison "Bignoles", une pensée pour Jean-Pierre et pour toutes ces familles de ce quartier témoin d'une vie très dure car souvent desservie par la rudesse et la tristesse de très sombres hivers.


"Je n'ai pas rencontré une âme" et pourtant tout au long de cette merveilleuse après-midi de fin février j'ai parlé aux dix familles comme encore installées du Labaig jusqu'au Béziat apportant par leur travail, leur organisation familiale, leur organisation communautaire non seulement la vie mais aussi la chaleur de l'accueil montagnard, les sentiments plus que fraternels issus de cette vie faite de souffrance mêlée à tant de beautés, de lumière, dans cette véritable symphonie de nos belles Pyrénées.

Merci bel hameau d'Aubise de m'avoir fait rêver sur les sentes du Baralet!

 René ROSE.


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**Le dessin de Marc LARGE **

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*Naissance de ciné-club ...

*

Jean-Louis et Tierry, sur la terrasse de Face à la mer, lieu des séances de
« Ce soir, y'a pas Thalassa ». !!
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Autant dire qu'il n'y aura pas prise de tête : l'association Le Laboratoire AVA (Amis de la vallée d'Aspe), créateur du journal « Aspirine », a programmé une nouvelle activité : la projection de films, suivie ou non de débats.

Première étape : toute personne intéressée peut s'inscrire dans une commission dans le cadre du ciné-club à laspirine@orange.fr. Les responsables : Jean-Louis Carrassoumet, Tierry Fresneau et Louis Gandon, sont en relation avec un fournisseur auprès duquel ils achèteront les DVD avec droits de diffusion. « On en avait envie, et puis ça correspond à un besoin, une demande sur la vallée », ont expliqué les trois « laborantins ». Leur choix se porte sur des documentaires ou des films anciens qu'il est devenu quasiment impossible de visionner à ce jour.

Un vendredi soir par mois, une projection intitulée « Ce soir, y'a pas Thalassa » se fera à Face à la mer, le café salon de thé de la place de Bedous, ou sous la halle, selon l'importance de l'assistance.

Mais des séances de cinéma se feront dans d'autres lieux (lieux publics, granges ou maisons privées) : « On va faire tourner dans les villages, mais ce sera souple, avec sûrement davantage de projections l'été avec les touristes. » La première séance est prévue en avril ; pour l'instant, les trois copains recherchent le matériel qui assurera des projections de qualité (vidéo et audio).


 **Phrase du jour...**

 Il descend le chien en même temps que les poubelles...

   Un jour,il jettera le chien !!!

Brèves de comptoir ...*


...Je trouve chat louche !!!!.

 

chat louche zaza


Publié dans ACTUALITE

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A
<br /> <br /> Oui, vraiment, bravo au Baron pour ses superbes photos!<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> ..et c'est pas fini!!!!vive le numérique !!<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> wahaaa, ces belles photos!!<br /> <br /> <br /> J'voudrais habiter là bas tout le temps!!!!<br /> <br /> <br /> <br />
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