*Lesc'infos de Dijaus 15 de Deceme *

Publié le par le baron de lescun

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C'est entre trente et trente et un ans que les femmes vivent les dix meilleures années de leur vie..Sacha Guitry *

 

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Les vacanciers arrivent samedi... la neige aussi !
 


Dimanche dernier à La Pierre. La neige tant attendue devrait avoir blanchi tout ce paysage dès ce week-end. © L.V.
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Gourette et La Pierre-Saint-Martin accueilleront les premiers vacanciers dès samedi. L'ouverture des pistes suivra les chutes de neige annoncées de vendredi soir à dimanche.

Après bientôt trois semaines d'attente, la neige devrait tomber « de manière significative » sur les stations béarnaises ce week-end. Des premières chutes qui coïncident avec l'arrivée des premiers vacanciers qui auront toutefois du mal à chausser les skis dès ce week-end.

« On aura quelque chose d'ouvert dès samedi et on suivra en cours de semaine en fonction de la neige » dit Gérard Bracali, directeur de Gourette. « On suit la météo toutes les trois heures et on est relativement optimiste, sachant que ça peut évoluer à tout moment. On réactualisera tous les jours » ajoute Laure Angla-Gré de l'office de tourisme.

Des ouvertures progressives

Même son de cloche à La Pierre-Saint-Martin où le directeur, Dominique Rousseu, reste prudent : « On n'est pas sûr des quantités de neige à venir. Samedi on ouvrira en bas les Oursons et le télésiège des Sapins pour de la balade piétonne. Les prévisions ne sont pas franches et on ouvrira progressivement en fonction de l'épaisseur. On part de zéro, il faut donc beaucoup de neige et même si ça tombe ce week-end, il nous faut travailler la neige avant d'ouvrir les pistes. »

S'il est compliqué de recevoir les vacanciers au premier jour de neige, ils ne resteront pas sur le tapis. A Gourette, Laure Angla-Gré a des propositions : « Les gens viennent pour passer Noël au ski mais sont prêts à découvrir la montagne autrement. On a la Maison de Gourette avec le mur d'escalade, le squash, des expos, une tyrolienne, le bureau des guides propose de la marche nordique, de l'escalade, des randos, et il y a le thermoludisme aux Eaux-Bonnes ».

À La Pierre, les touristes seront accueillis samedi avec un vin chaud. Outre les télésièges ouverts pour la balade piétonne, l'Aventure Parc d'Aramits va rouvrir, un accompagnateur montagne proposera des balades nature. VTT, trottinettes, balades à la grotte de La Verna sont également programmées.

Artouste ouvrira le 24

À Artouste, l'ouverture des pistes est retardée au 24 décembre. Mais là encore, les vacanciers ne sont pas abandonnés. L'office de tourisme de Laruns proposera la semaine prochaine des randos tous les jours. Tous les produits raquettes (nocturne, raclette, crêpe, etc.) se feront mais à pied. Initiation à l'escalade, balades contées, rando aquarelle au Bénou et d'autres animations sont au programme.

Enfin au Somport et à Issarbe, le sourire va revenir avec cette neige du week-end. « On va ouvrir dimanche si les chutes sont significatives. Il faut 30 centimètres pour avoir 10 centimètres de neige bien damée » souligne Bruno Guitton. « Le site internet de la station est de plus en plus fréquenté, c'est bon signe. »

 

===> Réservations en demi-teinte

Pour la première semaine à Gourette, le taux de remplissage est d'environ 50 % pour monter à 80 % la seconde semaine des vacances. À La Pierre-Saint-Martin, on en est à 25 % pour la première semaine, et 50 % la seconde, tandis qu'à Artouste, on prévoit un taux de remplissage de 30 % la première semaine. « On a noté un ralentissement des réservations en raison du manque de neige mais ça peut revenir » résume Laure Angla-Gré à Gourette.


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Sainte Ninon ou Christiane évangélisatrice de la Géorgie au IVème s.


Cette femme n’a pas de nom, les Géorgiens la vénèrent sous celui de Nino, ce qui la désigne simplement comme une nonne, on lui donne aussi celui de Christiane, puisqu’elle était disciple de Christos.

Elle était originaire de Cappadoce (en Turquie actuelle) et vers 330 elle se crut investie d’une mission évangélisatrice, elle remonta vers le nord et s’installa comme nonne à Mts’kheta, ville religieuse des Géorgiens, près de l’actuelle Tbilissi. Ils la prirent pour un chaman ou une sorcière, mais la respectèrent. Elle guérit la femme du roi et ce dernier se convertit au Dieu de Nino, il demanda au patriarche de Constantinople de lui envoyer un évêque tandis que Nino medium_ste_nino_leuville.jpgse retirait dans la région de Bobdé où une cathédrale fut élevée sur son tombeau.

 

La paroisse orthodoxe Sainte Nino de Paris fit don à l’église catholique Saint Jean-Baptiste de Leuville-sur-Orge, d’une icône provenant de Mtskhéta, capitale historique et chrétienne de la Géorgie. Elle est fêtée le 14 janvier en Orient.

BONNE FETE AUX NINON, NINA ET CHRISTIANE

 


* C'est la crise....

 

Mercredi 14 décembre, a eu lieu le traditionnel arbre de Noël de l'Elysée. Après un spectacle dans un théâtre parisien, près de 600 enfants se sont rendus au palais présidentiel pour un goûter, où Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni-Sarkozy, pour la cinquième année consécutive, ont distribué les cadeaux. 

  La tradition veut que soient conviés, autour du sapin, plusieurs centaines de jeunes convives : enfants des collaborateurs de la présidence, enfants défavorisés, hospitalisés, pupilles de la nation, élèves méritants... En 2010 par exemple, des enfants victimes de la tempête Xynthia de février 2009 avaient été conviés à la fête.

Cadeaux... (Reuters)

 

Tous les ans, la salle des fêtes du palais de l'Elysée devient ainsi, en présence du président de la République et de la première dame de France, le théâtre d'une remise de cadeaux, suivie d'un goûter géant.

En 2010, l'arbre de Noël de l'Elysée avait rassemblé 920 enfants, dont 324 faisaient partie du personnel de l'Elysée. Coût de l'opération : 335 000 euros, soit 350 euros par enfant.

Une somme que la Cour des comptes n'avait pas manqué de pointer du doigt en juillet dernier, dans son rapport 2011 sur la gestion des services de la présidence. Même si les frais de cette fête ont été réduits de 34% sur les trois dernières années.

 http://2012etvous.fr.msn.com/






Garlin

Le tournesol perd la tête
 Une végétation étonnante avec des tournesols en fleurs qui ne boucleront cependant pas leur cycle végétatif. Ph. G. D.
Une végétation étonnante avec des tournesols en fleurs qui ne boucleront cependant pas leur cycle végétatif. Ph. G. D.

Étonnant phénomène hors saison dans le paysage agricole local avec la réapparition des tournesols dans les champs. Une végétation rare à cette époque de l'année qui s'explique par une conjonction de plusieurs facteurs.

« Cette année, les semis ayant été précoces, la récolte de tournesols l'a également été. Et comme il tombe toujours quelques graines au sol, elles ont mis à profit une arrière-saison aux conditions climatiques extrêmement douces et l'absence des gelées, qui mettent un coup d'arrêt, pour germer et se développer », analyse Louis, agriculteur de son état.

En fait c'est toute la végétation qui est quelque peu déboussolée. Les céréales d'automne - blé, colza - plantées en octobre, sont à un stade très avancé pour la saison. Les feuilles mordorées sont allègrement suspendues aux arbres et la pousse des pelouses empêche de réviser et remiser le matériel de tonte. Mais aux premières températures négatives d'un hiver que le calendrier annonce sous huit jours, le bon ordonnancement de la nature reprendra le dessus sur cette fantaisie automnale.

Gilbert Delahaye  http://www.sudouest.fr/2011/12/15/le-tournesol-perd-la-tete-581185-4143.php


 Un an après, l'autoroute A 65 sonne creux ....

Ouverte le 14 décembre 2010, l'A 65 est encore boudée par les usagers, notamment les poids lourds.

 Sur l'aire de repos d'Aire-sur-l'Adour. « Vu le prix que ça coûte, l'employeur préfère nous payer une heure et demie de conduite en plus, plutôt que l'autoroute », lâche un routier. photo n. le lièvre
Sur l'aire de repos d'Aire-sur-l'Adour. « Vu le prix que ça coûte, l'employeur préfère nous payer une heure et demie de conduite en plus, plutôt que l'autoroute », lâche un routier.
 photo n. le lièvre

On ne fera pas de grandes révélations en indiquant que c'est le sonnant et trébuchant qui fait freiner des quatre fers, devant les entrées autoroutières de l'autouroute A 65. Mais apparemment, les transporteurs freinent plus fort que les autres usagers. Il faut dire que parcourir les 150 kilomètres qui séparent Pau de Langon, coûte environ 30 euros, selon la hauteur du camion et son poids total autorisé en charge. Pas besoin de dégainer la calculette pour comprendre que ce droit de passage sur l'A 65 représente un budget dont certains transporteurs ne veulent - ou ne peuvent - pas se délester.

Un petit tour sur l'aire de repos d'Aire-sur-l'Adour, entre Pau et Mont-de-Marsan, suffit pour s'en convaincre, si ce n'était déjà fait. Ici, les chauffeurs de poids lourd font un petit somme, rafistolent un rétroviseur, procèdent aux vérifications d'usage de leur camion, ou s'accordent simplement quelques moments de répit caféinés avant de reprendre la route.

Les départements réfléchissent

A'Liénor pour l'A 65 et Atlandes pour l'A 63 espèrent vivement que le département des Landes prendra un arrêté interdisant la circulation des poids lourds sur les routes départementales, hormis bien sûr les dessertes locales. Au Conseil général des Landes, on travaille sur cette hypothèse. Robert Cabé, vice-président, indique être « favorable à cette interdiction. On va s'accorder avec les voisins de Gironde et des Pyrénées-Atlantiques pour émettre un avis commun favorable à cette interdiction. Une fois le feu vert donné par nos trois collectivités, il faudra le faire valider par le préfet, et surtout le faire respecter ».

On n'a vraiment pas eu beaucoup de succès avec notre question, visant à savoir comment ils trouvaient l'autoroute qui fête aujourd'hui son premier anniversaire. « Je ne sais même pas comment elle est faite ! répond un premier chauffeur. Je ne prends que la portion gratuite, pour éviter Aire. Je ne suis pas la bonne personne. »

Cette « bonne personne » prête à dire tout le bien qu'elle pensait de l'A 65, on a mis un peu de temps à la dégotter. Finalement, c'est un chauffeur espagnol qui a attribué un « muy bíen » sincère, à l'infrastructure, pour ses conditions de sécurité.

Un peu plus loin, Denis s'est arrêté à la pompe. « Je la prends régulièrement, une fois par semaine environ. C'est une question de sécurité : c'est quand même mieux de prendre l'autoroute que de traverser les villages. »

La sécurité, il faut lui accorder cela, à l'A 65. Car la départementale a beau être gratuite, elle n'est pas sans danger. « Je me suis encore pris un sanglier cette nuit, témoigne Lionel, chauffeur dans les transports frigorifiques, essayant de se réchauffer devant un café fumant. Le problème, c'est que nos employeurs veulent qu'on évite l'autoroute. Là, je suis arrivé de Pau par la départementale, je fais une pause à la station d'Aire-sur-l'Adour pour faire une coupure, et je remonte vers Bordeaux par la départementale. Je reprendrai l'autoroute à Langon. »

Ceci dit, parfois, le chauffeur coupe la poire en deux et amortit un peu la douloureuse en faisant « soit l'aller, soit le retour par l'A 65 ». « Vu le prix que ça coûte, l'employeur préfère nous payer une heure et demie de conduite en plus, plutôt que l'autoroute. On est au Smic : cela doit lui revenir à 30 euros environ, au lieu des 60 euros d'autoroute. »

L'estocade revient à Jean-Christophe, en escale à Aire, pour se rendre à Angers. « On ne la prend pas, mot d'ordre de la direction. J'arrive de Pau par la départementale et je remonte par la départementale aussi. L'A 65 est trop chère. Ils ont investi beaucoup pour rien. Au prix où est le gasoil, en plus… »

C'est peut-être du côté des conducteurs de véhicules légers, qu'on est le plus indulgent. Noël, retraité lot-et-garonnais, emprunte régulièrement l'A 65 pour aller rendre visite à son fils, qui est en sport études à Pau. « Je l'utilise pour la sécurité. Qu'il n'y ait personne sur la route, moi ça ne me dérange pas. »

Ne pas risquer l'objection du coût : « Les gens sont toujours en train de gémir, grince-t-il. Celui qui rouspète, il n'a qu'à pas la prendre. Au moins, je roule tranquille. Moi je ne gémis pas, je suis un retraité heureux. »

http://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/


 



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*Vers une nuit agitée..???

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www.lachainemeteo.com

Evolution :


A partir du milieu d'après-midi, la dépression Joachim commencera à se creuser au large de la Bretagne. Les premières rafales de secteur sud-ouest atteindront 100 à 120 km/h sur le sud Bretagne et 90 à 100 km/h dans les terres. Ces bourrasques seront accompagnées de pluies continues et parfois fortes.

C'est en soirée que le minimum dépressionnaire circulera en entrée de Manche en se renforçant rapidement. La tempête débutera vraiment. Elle concernera un large quart nord-ouest avec des vents de plus en plus puissants. Sur les départements du nord du golfe de Gascogne, des rafales à près de 140 km/h sont attendues sur le littoral, et de 100 à 120 km/h dans les terres. Des dégâts sont susceptibles de se produire, de même qu'une surcote marine, même si les coefficients de marée sont moins importants que lors de la tempête Xynthia.

Dans la nuit, cette tempête progressera rapidement vers l'est. Les régions exposées aux vents les plus violents s'étendront de la Vendée à la Gironde, en remontant vers le bassin parisien, le Centre, la Normandie et les Ardennes. On attend des rafales proches de 140 km/h sur le perthuis charentais et le littoral vendéen. Ailleurs, le vent soufflera entre 100 et 120 km/h, y compris dans les terres. Le passage des vents les plus forts sera assez bref, de l'ordre de 3 heures.

Vendredi matin, la dépression circulera sur le Bénélux en se creusant encore, sa pression sera voisine de 965 à 970 HPa. Le gradient très important provoquera de très violentes rafales sur les régions du nord-est (Alsace, Lorraine, Champagne, Bourgogne, nord de la Franche-Comté). Sur cette zone, des pointes ponctuelles à 120-130 km/h sont possibles dans les secteurs les plus exposés. Du sud-ouest au Massif Central, les vents seront plutôt compris de 90 à 110 km/h, jusqu'à 130 km/h sur le littoral aquitain. A l'arrière, une accalmie progressive gagnera le nord-ouest, hormis de la Normandie au Nord-Pas-de-Calais, où de violentes rafales de secteurs nord-ouest sont attendues.

Vendredi après-midi,
la tempête s'éloignera peu à peu vers l'Allemagne avec le décalage très rapide de la dépression vers le Danemark. Néanmoins, du Nord-Pas-de-Calais à l'Alsace, des rafales proches de 110 km/h sont encore attendues, associées à de forts grains orageux. Ailleurs, le vent faiblira mais sera toujours voisin de 90-100 km/h.

En soirée, on observera des vents violents dans les Pyrénées Orientales, sur la côte d'Azur et la Corse. Ensuite après l'éloignement de la tempête vers l'Italie, mistral et tramontane se lèveront pour souffler violemment en Méditerranée.

 bisouslepost


Publié dans ACTUALITE

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