*Lesc'infos de Dijaus 8 de Març *
Ce vendredi 9 mars à 14h30 à la mairie d'Accous,
Partage et Culture en Aspe accueillera Pierre Castillou
pour une conférence sur les plus beaux sites et les ermitages en Aragon.
Une invitation au voyage avec un artiste qui a plusieurs cordes à son arc : l'an passé il publie un "guide de l'Aragon en 54 balades", mais il est connu également pour ses livres de "pérégrinations" illustrées par des aquarelles maisons.
Quand il ne dessine pas, ou n'écrit pas, Pierre Castillou sculpte, on lui doit entres autres la mule revenue de Jaca avec la dépouille de Saint Grat face à la cathédrale Sainte-Marie.
C'est donc un propos de fin connaisseur, passionné d'histoire locale affiné par un regard perçant et une sensibilité d'artiste qui sera proposé vendredi. Ouverte à tous.
«L'incendie de Boukassa» est le premier roman de l'Oloronais Pierre Castillou. Il s'inspire d'un véritable fait divers survenu en Afrique.
Voilà une lecture idéale pour cette journée internationale de la femme. Dans son premier véritable roman, « L'incendie de Boukassa », l'Oloronais Pierre Castillou s'est inspiré d'un fait divers réel, l'incendie d'une mairie en Afrique de l'Ouest en avril 2009. Une femme, « trop bien habillée, ayant des revenus fixes », la secrétaire de mairie, a servi de « bouc émissaire » et est depuis incarcérée dans l'attente de la fin d'une enquête qui piétine.
« Le point de départ, ça a été ce sentiment de révolte, indique l'auteur. La mairie a brûlé et une forte somme d'argent a disparu. Cette femme était le bouc émissaire idéal. Le reste, c'est de la fiction. » Pierre Castillou a ainsi inventé ce couple d'instituteurs qui mène sa propre contre-enquête.
« La fiction permet de mettre le doigt sur les vrais problèmes de l'Afrique, argumente l'écrivain. Le poids de la tradition, les jugements, la corruption électorale...» Membre depuis 1998 d'une organisation non gouvernementale (ONG) qui officie en Afrique, Pierre Castillou s'est pris de passion pour ce continent. « On a tellement à apprendre de l'Afrique mais elle souffre terriblement du mal de certains de ses dirigeants. » Sans en dévoiler trop, c'est là un élément clé de l'intrigue sans temps mort, émaillée de descriptions de cette Afrique que l'auteur vénère, de cet « incendie de Boukassa ». Un polar africain signé par un Oloronais que vous ne lâcherez pas avant de l'avoir terminé.
« L'incendie de Boukassa », de Pierre Castillou, éd. L'Harmattan, 222 pages, 19,95 €.
Samedi 10 mars à 19h, le Communal remet le couvert
avec "le Bœuf musical de Printemps."
Après une première tentative en janvier, Sidonie et Sébastien ouvrent une scène ouverte à tous les musiciens pour jouer, chanter, s'amuser.
On peut amener ses instruments, mais il y en aura aussi sur place, ainsi que des micros mis à disposition par le Pied Dans l'Oreille.
Pour passer un bon moment, que l'on soit mélomane ou musicien… et en janvier, les plus jeunes n'étaient pas les derniers à s'y mettre.
Mois de mars sur le thème des lutins, elfes, fées, magiciens, druides, nymphes, trolls, et toutes autres créatures fantastiques, c'est la proposition du Centre des Eterlous pour accueillir les enfants de 4 à 14 ans le mercredi à la journée ou demi-journée.
Informations et inscriptions aux Eterlous Château Fénart, centre multiservices à Bedous. Tél : 05.59.34.54.67
Le programme :
- Mercredi 14 mars : abracadabra ! Chapeaux de fée et baguettes très magiques. Une conteuse vient parler des fées et d'autres histoires d'ici ou d'ailleurs.
- Mercredi 21 mars : sortie nature à la recherche des traces d'elfes et de fées avec le Parc National des Pyrénées.
- Mercredi 28 mars : Oloron : recherche de documents sur les fées et la magie à la médiathèque. Piscine.
Oloron : arts et spectacles pour trois journées de la femme
Pour la troisième année consécutive à Oloron, les Journées de la Femme se veulent « plus participatives », avec un programme riche en expositions, spectacles et conférences sur la place de la femme dans la société, à découvrir de jeudi à samedi.
En ouverture de ces troisièmes Journées de la Femme, Corinne Scigala, directrice du service communication de la ville et de la CCPO, sur le départ, présentera son exposition de peintures « Tête-à-corps et autres abstractions », oeuvres à la force évocatrice importante. Pour France Jaubert-Bataille, vice-présidente en charge de la culture à la CCPO et instigatrice du projet, « c'est une manière de rendre hommage au travail que Corinne Scigala a effectué au sein de la CCPO », mais aussi une très belle découverte pour tous ceux qui ne connaîtraient pas encore son travail d'artiste. En complément de cette exposition à découvrir en compagnie de l'artiste, d'autres peintures, plus anciennes, seront exposées à la médiathèque intercommunale et dans les bibliothèques du piémont.
Médiathèque et bibliothèques qui ne seront pas en reste, notamment avec une lecture d'albums par la conteuse Joelle Beck sur le vaste thème « les filles et les garçons ». Cette réflexion se poursuivra lors de la conférence de Dominique Rateau, orthophoniste, qui portera un regard sur « des petites filles et des femmes dans les livres d'images », et devrait permettre de sortir des sentiers battus, en découvrant la place donnée à la femme dans certains albums pour enfants.
On ne manquera pas non plus la séance de cinéma au Luxor, cette fois avec « Elles », sur le thème de la prostitution estudiantine, avec l'excellente Juliette Binoche. Sur un thème similaire, courez voir, s'il reste des places, le spectacle « Filles de joie », par la compagnie Le Chat Perplexe, qui fera découvrir la vie et les combats de l'écrivain et prostituée suisse Grisélidis Réal, à travers le travail de trois comédiennes chanteuses accordéonistes.
Nouvelle alliée de poids lors des Journées de la Femme, l'association Terre de Mémoire(s) et de Luttes proposera au sein de l'Office du Tourisme une exposition sur les « Maestras », prêtée par l'Université de Saragosse, qui permettra de se rappeler le travail de résistance des institutrices espagnoles pendant la seconde république. Raymond Villalba, président de l'association, a salué l'initiative de France Jaubert-Bataille : « Nous avons voulu travailler avec vous car il est très important de parler de ces femmes qui se sont battues et se battent encore ».
Pour clôturer ces journées, une table ronde sera animée par l'anthropologue Anne Saouter, sur un sujet qui devrait intéresser beaucoup de gens au niveau local : « Être rugby, jeux du masculin et du féminin ». À noter que l'équipe de rugby féminine de Goes a été contactée pour venir parler de son expérience.
Des peintures abstraites, du cinéma, du théâtre et des débats au programme des trois journées oloronaises de la femme.
===> Le programme
Jeudi 8 mars
- Hall de l'espace Jéliote, 18h, vernissage de l'exposition « Tête-à-corps et autres abstractions », par Corinne Scigala. Entrée libre. Exposition visible le 8 mars à partir de 15h, les 9 et 10 mars de 10h à 13h et de 14h à 19h. En présence de l'artiste.
- Cinéma Le Luxor, 20h45, projection du film « Elles », avec Juliette Binoche, suivie d'un débat animé par Aides 64. Film interdit aux moins de 12 ans. Tarif unique : 5,10 €.
Vendredi 9 mars
- Salle communale de Gurmençon, 21h, « Filles de joie », théâtre chanson par la Cie Le Chat perplexe. Hommage à l'écrivain et prostituée Grisélidis Réal. Tarifs : 12 € (6€ réduit) Renseignements 05 59 39 98 68 (Spectacle vivant).
Samedi 10 mars
- Salle communale de Bidos, à partir de 16 h 30, ateliers débats : « Des corps sous influences ou quand le social façonne les corps » et « Parcours de vie et précarités : destinées sociales ou fatalisme ? Dans le sport, la politique, la mode, le travail...» Inscriptions sur la base du volontariat.
- Table ronde animée par l'anthropologue Anne Saouter, auteur du livre « Être rugby, jeux du masculin et du féminin ». Entrée libre.
Saint Jean de Dieu est fondateur des Frères hospitaliers, mort en 1550Un petit garçon portugais de 8 ans, Joao Ciudad, quitta sa famille pour des raisons inconnues et mena une vie errante de fugueur et d’enfant volé. Il grandit devenant successivement berger, militaire, valet, infirmier, marchand ambulant de livres de piété… il parcourut l’Europe jusqu’en Hongrie mais en revenant à Gibraltar il entendit un sermon de Jean d’Avila et il se convertit.
L'hôpital qu'il a fondé à Grenade donnera naissance aux Frères Hospitaliers de Saint Jean de Dieu, ses conceptions révolutionnaires pour l'époque font de Jean de Dieu "le père de l'hôpital moderne"www.prenomdujour.over-blog.com
On fête aussi Véronique de Palestine...
A la Sainte Véronique,le soleil à l'hiver fait la nique...
A la Sainte Véronique,les marchands de marrons plient boutique !! *
* C'EST NOUVEAU....
Ces 4 territoires du Haut Béarn travaillent désormais ensemble pour offrir une offre plus vaste et diversifiée.
Finis les cloisonnements! Le visiteur devrait dans les prochains mois accéder plus facilement à toutes les possibilités de fête, de loisirs, de découverte, de séjours... à l'échelle des 3 vallées et du piémont.
RDV au salon Destination nature à paris du 29 mars au 1er avril pour découvrir ou redécouvrir ce territoire
Le site mobile : mespyrenees.com vous guide dès aujourd'hui en Pyrénées Béarnaises !
:0014: En ce qui me concerne,l'homme qui a le plus compté pour moi, c'est mon percepteur.... Daniel Prévost **
Photo Vanderveken, l'internaute.fr