*Lesc'infos de Divés 30 de Deceme *

Publié le par le baron de lescun

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Saint Roger est un évêque légendaire de Cannes en Italie.

 

 

Cannes, ville des Pouilles, célèbre dans l’Antiquité par la victoire d’Hannibal sur les légions romaines, était en pleine décadence au XIIIème s. si bien que les habitants de la ville voisine de Barletta pillèrent la cathédrale et emportèrent tous les objets précieux et le corps de l’évêque de Cannes, un certain Roger ou Ruggiero qui datait de l’époque où les Normands avaient écumé la région.




Cette enluminure moderne est réalisée par les stagiaires de http://www.or-et-lumiere.com/realstage.php

Le pape les obligea à rendre les objets précieux mais ils gardèrent le corps de Roger dont ils firent un grand saint, des reliques et un office…

 

Barletta est aussi célèbre pour son « colosse » de bronze du IVème siècle représentant un empereur romain élevant la croix du Christ.

 

 

BONNE FETE AUX ROGER ET OGIER

*Macabre découverte à Lescun... http://www.larepubliquedespyrenees.fr/

 un randonneur découvre un crâne humain et un sac à dos

Par E. N.
Publié le 30 Mis à jour à 14h39
 


Lescun. Photo illustration / archives Laurence Fleury.


C'est un randonneur qui a fait la découverte hier sur le territoire de la commune de Lescun, en vallée d'Aspe. Dans un secteur décrit par les autorités, comme « très escarpé », aux alentours de 12 heures, l'homme a en effet découvert un crâne humain.

Il a immédiatement donné l'alerte et les gendarmes se sont rendus sur place. Selon nos informations, aucun os n'a été découvert à proximité. En revanche, un sac à dos se trouvait non loin du crâne.

L'enquête a été confiée à la brigade de recherches d'Oloron mais, pour l'instant, les gendarmes préfèrent garder le silence. De plus, les analyses devraient prendre du temps avant de livrer leurs conclusions.

En attendant, des rapprochements sont d'ores et déjà effectués avec la liste des randonneurs disparus en vallée d'Aspe ces dernières années. Et notamment ceux qui n'ont plus donné signe de vie depuis les années 90.

C'est par exemple lors de cette décennie, en juin 1997 précisément, qu'un randonneur girondin de 29 ans avait disparu au-dessus de Lescun. Maire de la commune, François Baye, qui n'avait pas été officiellement prévenu hier de la découverte du crâne, se souvient d'ailleurs que le jeune homme avait, lui aussi, disparu dans un secteur escarpé.

Reste que rien ne permet encore d'indiquer qu'il s'agit bien du crâne du randonneur, qui était originaire de Pessac. Il faudra attendre les analyses ADN et, éventuellement, les indices livrés par le sac à dos, pour en savoir plus. 


 *Douce fin d'année...

Lescun :lesc3101             


*Le Somport :

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 Samedi 31/12                          www.lachainemeteo.com


En cette veille du Réveillon,
l'horaire du cinéclub "cesoir, yapasthalassa" est avancée à 18h ce soir.

(et non 16h comme annoncée par erreur sur l'affiche)

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 Rentrer son ventre sur la balance ne rend pas moins lourd !

José Artur *

 


29/12/2011

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Estivade d’Aspe, important employeur de Lourdios-Ichère avec plus de 50 salariés. Cette réalité n’est pas toujours identifiée, car l’association chantier d’insertion est la partie la plus visible de l’association de Lourdios-Ichère. On oublie facilement les 7 postes permanents qui permettent de faire tourner Estivade dirigé par Patrice Morin, en poste depuis la création en 1989.

La majorité des activités se situe à Oloron, et à Lourdios, l’activité tourisme social est moins connue. Marie-Christine Lecomte anime la maison Pélou à la sortie du village.

  • Sandrine Carrère gère les gites d’Estivade, les gîtes communaux et le gîte de Badarrié en forêt d’Issaux.
  • Plus de 75 lits dispersés à Lourdios qui ont engendrés en 2010 près de 4000 nuitées.
  • Pour faire fonctionner l’ensemble, Estivade encadre du personnel en insertion pour l’entretien des locaux, l’administration et la gestion soit 8 postes basés à Lourdios même.

« Estivade a su évoluer au fil des années et des dispositifs, confirme la présidente, Marthe Clot, mais nous restons au cœur de notre métier, l’insertion, la solidarité, le logement. C’est important pour notre petite association. » Et les projets ne manquent pas : la rénovation du gite d’Estivade, ouvert en 1989 sur l’initiative du Foyer de Jeunes Travailleurs de Michel Houneau, mais aussi pour répondre aux besoins des jeunes en matière d’habitat, « nos origines restent présentes et sans l’habitat, l’insertion professionnelle reste plus difficile » rappelle Patrice Morin.


 

 

 

Lors de la dernière réunion de la communauté de communes, un point a été fait sur les avancées du dossier Maison de Santé.

  • Une réunion a eu lieu en décembre avec le sous-préfet, les financeurs et le cabinet d’études Cordes : le projet est suivi avec atttention par les services de l'Etat, le Conseil Régional et le Conseil Général qui devrait d'ici juin définir son règlement d'intervention.
  • Les plans avaient été soumis aux professionnels qui ont apporté quelques modifications au projet : trois bureaux médicaux, un cabinet dentaire, un cabinet de kinésithérapeute, le local des infirmiers, en sont les principaux éléments. Le bâtiment neuf sera construit dans le parc de la maison Nouqué à Bedous.
  • Les élus ont voté une mission d’étude thermique d’un montant de 1840 € qui pourrait être financé par l’Etat et la Région.

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ar Marcel Bedaxagar 0  

                                                        http://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/

La voie ferrée fait causer
La résidence La Baline a été construite juste au-dessus de la sortie du tunnel d'Oloron, sur la voie ferrée Pau-Canfranc.
La résidence La Baline a été construite juste au-dessus de la sortie du tunnel d'Oloron, sur la voie ferrée Pau-Canfranc. (photo M.B. )

L' année 2011 n'a jamais donné autant d'espoirs aux défenseurs de ligne ferroviaire Pau-Canfranc. Ces derniers ont su se féliciter à travers des communiqués de l'avancée du dossier (lire ci-dessous). Mais on a moins entendu les riverains de cette ligne, qui montre aujourd'hui quelques inquiétudes. Voire de la colère…

« Je pense que dans un pays qui est en déficit de tous les côtés, on se lance dans des travaux dont on ne connaît pas la rentabilité », peste ce propriétaire d'un appartement du rez-de-chaussée de la résidence oloronaise La Baline qui préfère garder l'anonymat. Quand le train Oloron-Bedous repassera, ce sera juste sous ses fenêtres. En effet, la résidence a été construite près du trinquet Guynemer et juste au-dessus du tunnel ferroviaire, à la sortie de l'ouvrage souterrain qui s'ouvre peu après le cinéma Le Luxor. « Je pense que s'ils avaient voulu faire un train touristique comme le train jaune de Perpignan, ça aurait pu être intéressant mais là on nous parle de ferroutage », peste-t-il. ce que confirme son épouse : « C'est une aberration ! » Tous deux habitent un appartement coquet, dans un havre de tranquillité.

Quatre allers-retours

Ils l'ont acheté pour y couler une retraite paisible. La perspective de voir des trains sur la voie ferrée sur laquelle donne leur véranda ne les réjouit pas. Même si le couple sait que cette ligne ne sera pas surexploitée. La lettre (1) de Réseau ferré de France sur « la reprise des circulations ferroviaires entre Oloron et Bedous » précise que « les services TER prévus comprennent quatre allers-retours par jour entre Oloron et Bedous plus deux allers-retours supplémentaires entre Oloron et Bidos où se situerait une nouvelle halte, à proximité de l'usine Messier Dowty Bugatti ». « Ce n'est pas tellement pour la gêne, c'est pour la situation du pays », insiste le couple qui dit pourtant : « Quand on a acheté, on nous a certifié que le train n'allait pas repasser ! » Leurs voisins du rez-de-chaussée, Jean-Pierre Narbeburu et son épouse, ne sont pas encore résidents permanents. Pour les trouver, il faut se rendre au quartier Cambeilhou-d'Esquiule, à six kilomètres sur les hauteurs du village. La vue imprenable en séduirait plus d'un. « Mais nous ne sommes plus que tous les deux, loin de tout. Alors, on a acheté cet appartement en prévision de nos vieux jours », sourit Jean-Pierre Narbeburu qui, dans deux mois, fêtera ses 84 ans !

Bien sûr, ces retraités basques savaient que la voie ferrée était sous leurs yeux. « On se disait que le train ne passerait jamais. D'ailleurs, il ne passe pas encore », affirme Jean-Pierre Narbeburu.

Maire de Bidos, André Paillas se veut plus pragmatique. L'arrêt pour Messier, c'est lui qui l'a demandé. « Maintenant, s'il doit aller jusqu'à Bedous, ce n'est pas un problème. Mais il faudrait privilégier tout ce qui est sécurité et protection des riverains, avec des murs antibruit par exemple, parce que le train va passer dans une zone totalement urbanisée », espère-t-il.

Une pétition pour dire non

Le plus virulent de tous est Georges Manaut à Gurmençon. Il a racheté la maison d'une ancienne garde-barrière. Il est donc à l'origine d'une pétition pour dire non à cette réouverture. « Non au financement par les seuls contribuables aquitains, non à l'insécurité des riverains qui ont eu l'autorisation de construire le long de la voie ferrée ».

Georges Manaut, qui a construit son abri à bois à même la voie ferrée, revendique plus de cinquante signatures. Mais il n'a pas obtenu celle de Gilbert Loustau qui a acheté l'ancienne gare de Gurmençon, quelques mètres en aval. « Je travaille à la SNCF et c'est sur un coup de cœur que j'ai acheté ce bâtiment. Et je savais que le train allait repasser. » À la retraite dans quelques mois, Gilbert Loustau sourit : « C'est une folie de M. Rousset mais quand ils ont fait cette ligne c'était déjà une folie de Louis Barthou ! »


*Le parachutage du moment....

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*C'est le moment des bonnes résolutions....

 

D'autres PPS sur Diaporamas-a-la-con


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*Demain, dernier article de cette année 2011... minuit

 

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Publié dans ACTUALITE

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