*Lesc'infos de Diluns 2 de Avriu *
*Bonjour, Bienvenue !!* une fermeture...Cannelle ...Des signatures...Le développement durable...Un Maire...Ainsi va l'actualité ici et ailleurs !* Bonne lecture *
Ce dimanche 1er Avril, l’espace nordique du Somport ferme s es portes (et ce n’est pas une blague, certains même risquent d’être surpris que cela ne soit pas déjà fait !)
Déjà, depuis quelques jours, les pistes restaient d’accès libre mais le faible enneigement obligeait à déchausser. Les derniers pratiquants auront profité d’un ensoleillement exceptionnel. Les pistes resteront ouvertes à la pratique des raquettes, mais les services du centre de jour seront fermées *
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/
- Du 3 au 6 avril - Etsaut : exposition à l’occasion de la semaine du développement durable de 14h à 17h à la maison du Parc National des Pyrénées, en partenariat avec le PACT du Béarn.
- Jeudi 5avril – Bedous : réunion d’information sur le compostage à 18h au château Fénart (proposé par la CCVA)
- Vendredi 6 avril – Aydius : soirée contes et crêpes 20h20 à la salle pour tous avec le conteur David Borde, proposée par la bibliothèque d’Aydius.
- Dimanche 8 avril – Lescun : soirée contes « histoires de fées, de faits et d’effets » avec Brigitte Carle et sa petite compagnie aspoise, proposée par les Phonies Bergères.
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Vendredi matin la dépouille de l'ourse Cannelle, abattue dans les Pyrénées en 2004, a été transférée au Muséum d'Histoire naturelle de Toulouse.
Depuis que Cannelle a été abattue par un chasseur au-dessus d'Urdos en 2004, sa dépouille attendait dans un frigo de l'école vétérinaire de Toulouse. Son transfert au Muséum aura pris huit ans. Il a fallu attendre la fin des procédures judiciaires, en 2010, pour lancer les formalités de transfert. Ce fut long car, étant la dernière ourse de souche pyrénéenne, Cannelle était très protégée par les protocoles internationaux. Il faut ajouter à cela une petite querelle qui a opposé les Muséums de Paris et de Toulouse pour récupérer la dépouille.
C'est la proximité géographique qui a finalement gagné. Cannelle rejoint ainsi Melba, Franska et Palouma, ourses slovènes mortes accidentellement ces dernières années ainsi que le vieux Papillon, ours béarnais mort de mort naturelle.
Le Muséum veut en faire un témoignage historique, car peut être que dans 100 ou 150 ans, certains viendront pour étudier cette espèce disparue. Toutefois, à l'issue de la décongélation de la dépouille, les taxidermistes devront mesurer les dégâts et voir si l'animal peut être naturalisé. Quand sa dépouille avait été récupérée, elle avait déjà été entamée par les charognards.
Pour pouvoir se présenter à la présidentielle, les candidats doivent être parrainés et récolter au moins 500 signatures de maires ou de conseillers généraux et régionaux.
Les noms des parrains de chaque candidat (tirés au sort par le conseil constitutionnel quand il y en a plus de 500) sont ensuite publiés au Journal Officiel.
Cette publication a eu lieu samedi. Nous avons donc épluché ces listes et trouvé 92 parrains dans le département. Les voici, candidat par candidat. Et si le maire de votre commune ne figure pas dans cette liste, deux hypothèses : ou il n'a parrainé personne, ou son nom n'a pas été tiré au sort.
l Eva Joly : 10 parrainages
Stéphanie Redol (maire de Précilhon), Louis-Henri Conques (Castetner), Jean-Michel Galant (Ascarat), Jean Roca (Poey-de-Lescar), Sauveur Bacho (Arberats), Alice Leicagueçahar (conseillère régionale), Lucien Betbeder (Mendionde), Alain Iriart (Saint-Pierre d'Irube), Anne-Marie Ibanez (Behorléguy), Alain Nouguez (Nousty)
l Marine Le Pen : 1 parrainage.
Michel Jeser (Lacadée)
l Nicolas Sarkozy : 5 parrainages.
Bernard Cachenaud (Iholdy), Jean Pommiers (Léren), Philippe Juzan (conseiller général de Saint-Jean-de-Luz), Max Brisson (conseiller général de Biarritz), Bathélémy Bidegaray (Urcuit)
l Jean-Luc Mélenchon : 3 parrainages.
Isabelle Montauban (Luc-Armau), Jean-Michel Desséré (Lembeye), Georges Sans (Eysus).
l Philippe Poutou : 20 parrainages.
Sébastien Uthurriague (Larrau), Guy Eneco (Aïcirits), Jean-Pierre Libelbehety (Lichans-Sunhar), Peio Setoain (Aldudes), Anicet Erreçarret (Alçay), Bernard Mora (maire délégué Arros), Daniel Olcomendy (Ostabat), Jean-Pierre Inçagaray (Ossas-Suhare), Jean-Claude Lagabarre (Coslédaà), Jean-Michel Toulet-Blanquet (maire délégué de Capbis), Michel Ernaga (Urepel), Bernard Saphores (Saint-Pé-de-Leren), Nathalie Irigoyen (Etchebar), Claude Fourquet (Pomps), Michel Idiart (Lasse), Francis Routis-Cabé (Lannecaube), Michel Oçafrain (Banca), Jean-Louis Borthelle (Haux), Arnaud Abbadie (Amorots-Succos), Eric Ithurralde (Bunus).
l Nathalie Arthaud : 7 parrainages
Jean-Pierre Irigoin (Ainhice-Mongelos), Ruben Gomez (Laguinge-Restoue), Jean-Marc Peillen (Licq-Atherey), Gérard Soulier (Bernadets), Lucien Larroze (Sedzère), Jean-François Anglade (Labets-Biscay), Jean Carriburu (Aussurucq).
l Jacques Cheminade : 7 parrainages.
Hélène Martheuilh (Montestrucq), Pierre Arrossagaray (Sauguis-Saint-Etienne), Jean Casabonne (Escou), Nadia Segaud (Verdets), AlainTeulade (Estos), Alain Pedegert (Arnos), Marcel Lamarque (Lucarré)
l François Bayrou : 30 parrainages
Michel Veunac (conseiller régional), Pierre Casabonne (Arette), André Arribes (Bizanos), Claude Ferrato (Aressy), Albert Farandou (Monségur), Anne-Marie Ithurry (Souraïde), François Bayrou (député), Jacques Pédehontaà (Laàs), Jean-Claude Lalanne (Ponson-Dessus), Bernard Arrabit (St Martin d'Arrosa), Denise Saint Pé (conseillère régionale), Jacques Etchandy (Anhaux), Jean-Jacques Lasserre (sénateur), Serge Junca (Maspie), Jean Caubios (Pontiacq-Viellepinte), Robert Casadebaig (Laruns), Alain Sanz (Rébénacq), Jean Lassalle (Député), Jean-Paul Mattei (Ger), Jean-Louis Caset (Ibarolle), Gérard Salles-Cazeaux (Meillon), Bernard Bourguinat (Aydius), Philippe Palengat (Gabaston), Christine Bessonart (St-Pée-sur-Nivelle), Patrick Yagger (Anos), Isabelle Lahore (Andoins), Claude Conte-Hourticq (Abère), Juliette Séguéla (conseillère générale de Biarritz), Jean-Pierre Barrère (Espoey), Pierre Haïçaguerre (Saint-Martin d'Arberoue)
l Nicolas Dupont-Aignan : 5 parrainages.
Patrick Moura (Asson), Francis Laclergue (Saint-Médard), Jean-Pierre Malabirade (Portet), Jean-Pierre Sallenave (Labastide-Villefranche), Jean-Michel Camou (Orègue)
l François Hollande : 4 parrainages.
Anne Bernard (conseillère régionale), Arnaud Moulié (Miossens-Lanusse), Jean-Yves Lalanne (Billère), Marie-Christine Aragon (conseillère générale de Bayonne).
Une semaine d'activités en faveur du développement durable est prévue jusqu'au 7 avril. Au programme : ateliers, conférences, exposition, troc d'objets et/ou de plantes...
Pour la neuvième année consécutive, le développement durable est mis à l'honneur à Oloron pendant une semaine, avec pour temps fort une journée sur le parvis de Jéliote, qui avait su attirer la foule l'an dernier, en partie grâce au troc d'objets et de plantes, reconduit cette année.
Pour les enfants. La sensibilisation du public scolaire sera une priorité avec plusieurs sorties et animations proposées dans les écoles de la ville toute la semaine : le cinéma Le Luxor projettera le film « Animaux et compagnie », l'Amap d'Oloron expliquera aux enfants « comment partager et économiser les ressources »... Tandis que l'association « Un seul mot pour l'eau » de Vincent Desdoits proposera à chacun de donner un mot en lien avec l'eau, dans le but de créer un livre permettant de récolter des fonds pour l'accès à l'eau.
Le club nature Le Milan Noir, qui initie les jeunes de 7 à 11 ans à la nature, propose exceptionnellement aux parents de découvrir eux aussi leur environnement, ce mercredi 4 avril.
Le grand public sera lui aussi invité à se pencher sur certaines problématiques : le vendredi 6 avril, l'association Potimarron proposera une conférence sur les ondes électro-magnétiques (19 h 30, salle Barthou). Les associations et comités des fêtes de la ville seront invités, jeudi 5 avril, à apprendre à réaliser des manifestations éco-responsables (à 18 h 30, salle Barthou).
Le temps fort de la semaine se fera toute la journée de samedi sur l'esplanade de Jéliote, avec de nombreux stands et animations. L'an dernier, la visite de la station d'épuration n'avait pas connu un grand succès. Mais sur demande des comités de quartier, elle est reproposée cette année, sur inscription, de 9 h 30 à 11h.
Le traditionnel nettoyage des gaves et forêts, qui draine à chaque fois près de 50 volontaires, est reconduit cette année (sur inscription pour ceux qui souhaitent profiter du repas de midi offert).
Le troc d'objets et de plantes, qui avait rencontré un grand succès l'an dernier, est de nouveau organisé : tous ceux qui souhaitent donner une deuxième vie à leurs objets inutiles (petit électroménager, multimédia, déco, vaisselle, jouets, livres, vêtements, outils de jardin et plantes...) peuvent d'ores et déjà les apporter au Sictom, afin de constituer un stock de départ pour la journée du samedi.
Informations et inscriptions auprès du BIE au 05 59 39 10 13
| Par Odile Faure | 2 |
http://www.sudouest.fr/2012/04/01/vous-avez-vu-la-bete-sauvage-675651-3603.php
[VIDEO] Jean Baylaucq, le maire de Bielle, n'a plus beaucoup de soutiens en Béarn. Il paie ses extrêmes
«Vous avez vu la bête sauvage ! » C'est ainsi que se dépeint Jean Baylaucq en nous disant au revoir sur le parking de la mairie de Bielle. Le vieil homme de 77 ans est conscient de sa mauvaise image, réactualisée par sa bataille avec le berger Joseph Paroix dont il a fini par couper l'eau. « Vous pourriez mettre 10 000 types devant la mairie, j'en ai rien à cirer, moi. Je suis très "teignousse". » Dans cette affaire, le droit est pour l'instant avec lui.
Il règne depuis 42 ans
Maire de Bielle depuis quarante-deux ans, célibataire sans enfants, cet homme de petite taille - « 1,70 m quand je me tiens bien droit, le boucher m'appelait Ras-du-sol » - a voué sa vie à son village, une bourgade discrète mais cossue de 467 habitants, disposée au pied du col de Marie-Blanque. La grande route n'y passe plus depuis que l'élu a obtenu du Conseil général, dont il fut membre jusqu'en 1992, la déviation du bourg, au prix d'une détermination sans bornes. « J'avais fait placer des ralentisseurs de 18 centimètres de hauteur à l'intérieur du village. Chancel est passé dessus pendant le Tour de France. Dans l'émission, il a dit qu'il y avait un maire complètement fou dans la vallée ! »
Parmi ses autres faits d'armes, la bataille avec les écologistes sur la construction d'un village vacances au Bénou - « Ils ont eu raison de s'opposer », finit-il par dire aujourd'hui - et la fameuse cage à ours. « On s'est bien foutu de leur gueule ! On avait quelqu'un dans le village qui avait fabriqué une cage métallique. On l'avait fait savoir, on avait mis un appât, et on faisait croire qu'un chien s'était fait prendre. Les gardes du parc étaient dans tous leurs états. On s'est marré ! » Il a également occupé le plateau télé de Christophe Dechavanne, avec qui il s'est fâché.
Il fait beaucoup moins rire
Aujourd'hui, Baylaucq fait beaucoup moins rire. Il ne participe plus aux fêtes de village, lui, le faiseur d'ambiance. « Il a peur de se faire casser la figure », rapporte un maire de la vallée. Tenté par Mélenchon « parce qu'il défend les ouvriers », il rend fous ses partenaires socialistes, qui l'ont désavoué sur l'affaire Paroix. Même ses anciens soutiens le lâchent. « Avec l'affaire de la source, il a fait un pas de trop. Il fait une contre-publicité au village. Depuis qu'il a perdu la présidence de la Commision syndicale du haut Ossau, il est aigri, il ne s'arrange pas », explique un ancien proche qui préfère rester anonyme.
Un autre se fâche à l'évocation de son nom. « C'est un nuisible, la haine le guide. C'est un antidémocratique, il a tous les défauts de la terre ! J'ai une compassion extraordinaire pour le Conseil municipal de Bielle. Je ne sais pas comment ils font pour le supporter. »
Il a été réélu à chaque fois par les Biellois, même si lors de la dernière échéance il ne s'est pas présenté sur une liste et a été désigné maire quand personne ne voulait y aller. « On est venu me chercher. »
On ne compte plus les procès qu'il a intentés. Dans le placard de son bureau, les contentieux judiciaires s'empilent sur 2 mètres d'étagères. Les journaux comme les élus sont régulièrement destinataires de ses lettres manuscrites de plusieurs pages ou de droit de réponse. Il est capable de rester la nuit pendant des heures à la mairie pour écrire. L'une de ses dernières batailles vise la Commission syndicale du haut Ossau, qu'il a présidée pendant vingt-cinq ans. Huit procès, 23 citations devant les tribunaux pour le nouveau président.
Il veut à présent retirer Bielle de cette commission, estimant que les droits vieux de mille ans de ses administrés sont spoliés. Certains Biellois commencent à se demander si ce maire qui a tant fait pour le village - pistes goudronnées, adduction d'eau, lotissement, village vacances - n'est pas en train d'en faire trop, au risque de se couper du monde. « Son obsession, c'est son village. Il n'a aucun sens de l'intercommunalité », confie un voisin ossalois. « Cette obsession est fabriquée de toutes pièces depuis quarante ans. Je n'ai pas voulu plonger pour les autres, mais qui est venu nous aider pour le village ? Quand mes cendres seront dispersées, je laisserai un pactole à Bielle », confie l'intéressé. Il a pour lui de ne pas aimer l'argent et de ne pas s'être enrichi.
« Pas celui que l'on croit »
Il a aussi quelques défenseurs. « C'est quelqu'un de très humain, mais il n'est pas doué pour son image ni en matière de communication. Il n'est pas du tout ce qu'on croit. C'est vrai qu'en mairie, ça crie tout le temps, mais on peut compter sur lui », avouent ses plus proches collaborateurs. Lui-même dit qu'il n'aime pas le combat, les conciliabules, mais quand la bataille démarre, il fonce. « Le caractère, je ne l'ai pas mauvais, mais je ne suis jamais serein. »
Ses parents étaient pourtant des calmes. « On me disait toujours : mais d'où tu sors, toi ? J'étais l'affreux jojo. » Bon élève à l'école, il a cessé ses études à 16 ans pour travailler à la ferme de ses parents qui élevaient des vaches et des juments. Il aurait fait un avocat opiniâtre, c'est ce que lui a dit un juge de la cour d'appel d'Agen.
« En fait, tout est en plus grand chez lui. Il a de très grandes qualités, mais aussi de très grands défauts. Au fond, ce n'est pas un méchant, mais il est mort de trouille. S'il quitte la mairie dans deux ans, ça va être ça sa mort. »
* Voir les commentaires: http://www.sudouest.fr/2012/04/01/vous-avez-vu-la-bete-sauvage-675651-3603.php
Sandrine ou Alexandrine est une religieuse morte en 1589
Alessandra Sabini devint religieuse franciscaine c'est-à-dire clarisse, elle fonda plusieurs couvents dans la 
province des Marches en Italie.
On ne connaît d’elle que sa discrétion et sa longévité puisqu’elle mourut à 90 ans à Macerata dont nous pouvons voir le centre ville.
BONNE FETE AUX ALEXANDRINE, SANDRINE, SANDY …
On n'est pas sorti de l'hiver
Qu'Avril n'ait montré son derrière !!
*Jusqu'au 11 AVRIL...110 ou www.sidaction.org
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