*Lesc'infos...Dimèrcs 29 de Junh *
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:0016: Du côté de ....
Le prochain Point Info Energie se tiendra à la maison du Parc national à Etsaut le 1er juillet, de 9h15 à 12h. Un conseiller du PACT du Béarn sera présent pour renseigner les personnes.
La maison du Parc a pris ses horaires de mi-saison : ouverte ce mois de juin de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30. Et jusqu'au 29 juin, une exposition photos est à découvrir « Montagne et nuages » de Bernard Jamorski.
28/06/2011
Samedi 2 juillet à 17h30 à la mairie d'Accous, le Hand-Ball Club Aspois organise son assemblée générale et fait le bilan de la saison. En fin de réunion, le club fêtera ses deux équipes qui ont particulièrement brillées cette saison en terminant en finales, les féminines moins de 13 ans et les garçons de plus de 16 ans qui terminent premier de leur poule.
Mais avant la réception, les dirigeants auront tiré la sonnette d'alarme.
La Présidente Anne-Marie Arreteig tient à rappeler "le club créé en 1994, n'a pas vu le renouvellement des dirigeants : Francine Bergez, vice-présidente, Marie-Pierre Pétriz, trésorière sont en poste dans l'association depuis sa création soit 17 ans, moi-même depuis 15 ans. Il est urgent de nous renouveler d'autant plus que les postes de président et de trésorier vont être vacants. Moins de disponibilité, réorganisation professionnelle, les bénévoles ont besoin que des relais soient pris." Avec plus de 80 licenciés, le Handball Club Aspois lance un appel auprès des joueurs, actuels ou anciens, des parents pour venir renforcer le conseil d'administration et le comité directeur. Les responsables ne voudraient pas que la "crise du bénévolat" ne mette le club en péril.
** http://accous.blogs.larepubliquedespyrenees.fr/
700 : C'est le nombre d'interventions par an. Un tiers sont des secours en montagne. L'hélico vole 750 heures par an ; 20 % sont des vols de nuit.
1 300 : C'est le coût, en euros, d'une heure de vol. Un appareil consomme 300 l/h de kérozène. En moyenne, une intervention dure 1 h 10.
190 : C'est le nombre de partenaires, pompiers, gendarmes, CRS du 64 et du 65 avec qui travaille l'équipe de Dragon 64
Si la machine n'est plus à présenter, ceux qui la font vivre restent anonymes. Qui sont-ils ? Comment travaillent-ils ? Rencontre avec Patrick Claquin, le chef, Bruno Giraud, pilote, et Patrick Duprat, responsable mécanicien, à la découverte de la base Antoine-Martinez, l'une des trois bases hélico haute montagne en France, avec celles de Grenoble et d'Annecy.
Un peu d'histoire d'abord. C'est en juillet 1962 que cette structure voit le jour. « À l'origine, elle a été créée pour répondre aux risques potentiels du bassin de Lacq, avec deux équipages des pompiers de Paris », raconte Patrick Claquin. Au fil des ans, les missions se diversifient. L'hélico sert un peu à tout, y compris à des opérations de sécurité routière. C'est lors d'un tel exercice que la base connaît un premier drame qui va lui donner son nom. En 1972, en vol au-dessus d'une route à la demande de la gendarmerie, le pilote Antoine Martinez meurt dans un crash. L'appareil a foncé dans une ligne électrique que les mauvaises conditions météo avaient rendu invisible.
« Suite à cet accident, la base s'est recentrée principalement sur le secours en montagne, qui représente aujourd'hui près d'un tiers des 700 interventions que nous réalisons par an », raconte le chef. Ancien pilote dans l'armée, comme d'ailleurs la plupart des pilotes de la Sécurité civile, il est arrivé à Pau en 1992 et en a pris les rênes cinq ans plus tard. Il a vécu en direct la montée en puissance de la base hélico qui compte aujourd'hui huit hommes : quatre pilotes et autant de mécaniciens. « On fonctionne en binôme de permanence de 9 heures à 22 heures, puis d'astreinte à domicile pour la nuit », explique Bruno Giraud, 54 ans et plus de 10 000 heures de vol à son actif.
Aujourd'hui, il est en tandem avec Patrick Duprat. La journée s'annonce calme. En tout début de matinée, ils ont fait un aller-retour pour un transfert inter-hospitalier entre Oloron et Pau. Et puis, plus rien jusque dans l'après-midi. « Aucune journée ne se ressemble. Il y en a des tranquilles, que l'on met à profit pour faire de la paperasse ; et puis des très mouvementées où vous avez à peine le temps d'atterrir qu'il faut repartir. Notre activité est rythmée par la vie des gens », souligne Patrick Duprat.
« On vit au rythme des gens »
Au printemps, il est fréquent que Dragon 64 décolle pour des chutes de cerisiers ; à l'automne, ce sont plutôt les chutes de palombières ; hiver et été, c'est davantage la montagne. « Réglementairement, ce sont les pompiers qui nous déclenchent, mais cela peut aussi être le Samu. Dans un cas comme dans l'autre, nous devons avoir décollé dans la demi-heure après acceptation de la mission. Tout dépend des conditions météo », précise Patrick Claquin. Resté muet, le téléphone finit par sonner à 15 h 35. Au bout du fil, le Samu de Pau : un cycliste vient de s'effondrer sur la route, à Esquiule. Il a fait un malaise cardiaque et une crise d'épilepsie. Dragon 64 est mis en alerte. Un coup d'œil sur le temps - « en cas de doute, on demande à nos voisins de Météo France, le temps étant très changeant en montagne » -, un autre sur une carte IGN numérique hyperdétaillée, et l'équipage est prêt.
Nouvel appel, une demi-heure plus tard : l'hélico est officiellement sollicité. Dans les cinq minutes, il décolle et arrive sur zone six minutes plus tard. Il n'a pas eu à aller chercher l'équipe médicale à l'hôpital d'Oloron, elle s'est rendue sur place par ses propres moyens. Atterrissage dans le jardin d'une propriété sous les yeux ébahis des badauds. Hélas, il est trop tard ; la victime n'a pu être réanimée malgré plus d'une heure de massage cardiaque.
« Pas à l'abri d'un pépin »
Les visages graves, Bruno et Patrick reprennent les airs. « Même si on a l'habitude, ça ne laisse jamais indifférent », soufflent-ils. « Le pire étant la souffrance. Lorsque vous transportez une personne qui hurle de douleur, ça vous glace. Nous ne sommes pas en contact direct avec la victime, qui est prise en charge par l'équipe médicale ou les pompiers, notre vocation étant de les transporter, mais on l'entend forcément. Il faut redoubler de vigilance et de concentration sur le pilotage », assure Patrick Claquin. Marqué par certains secours, il garde en mémoire celui du pic de la Sagette, le 4 août 2005. Un hélicoptère s'était écrasé faisant un blessé très grave qui a perdu l'usage de ses jambes. « Ce qui est arrivé est terrible et c'est un miracle qu'il n'y ait pas eu de mort. L'appareil était à moitié dans le vide ; à quelques centimètres près, il tombait au fond du ravin. » Une intervention loin d'être anodine pour des pilotes et mécanos d'hélico. « Bien sûr, on sait qu'on n'est pas à l'abri d'un pépin, confie Patrick Claquin, mais lorsqu'on décolle, on n'y pense pas. On a en tête l'intervention et la victime qui nous attend. C'est ça la beauté de notre mission. »
(1) La Sécurité civile dépend du ministère de l'Intérieur.
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un jour avec Quatre pilotes et quatre mécaniciens se relaient quotidiennement sur la base hélicoptère de la Sécurité civile de Pau-Uzein. Reportage aux côtés de ces secouristes de haut vol
« Nous devons avoir décollé dans la demi-heure après acceptation de la mission »
« Nous sommes certainement la base qui a connu le plus d'accidents parmi les 24 bases hélico de la Sécurité civile en France », lâche Patrick Claquin.
Dix ans à peine après la création de la base, un pilote perd la vie, en 1972. Antoine Martinez meurt dans un crash lors d'une opération de sécurité routière. Une deuxième personne est tuée. En mémoire du pilote, la base est baptisée par son nom.
En 1997, le chef de l'époque est victime d'un grave accident, en vallée d'Ossau, qui le laisse paralysé. Patrick Claquin le remplace.
Au début des années 2000, une violente série noire frappe les secouristes palois et leurs partenaires. « Nous venions de recevoir notre nouvel appareil, un EC 145, beaucoup plus sûr que l'Alouette 3 sur laquelle nous volions auparavant. On passait d'un monomoteur à un bimoteur, d'une sorte de 2 CV à une Porsche Cayenne », se souvient le chef de base. Mais en juillet 2003, le nouveau Dragon 64 s'écrase au pic de l'Arbizon, dans les Hautes-Pyrénées : un CRS de Gavarnie est tué ; quatre personnes sont blessées.
Trois ans plus tard, en juin 2006, l'hélicoptère se crashe lors d'une opération d'entraînement à à Gavarnie. Le bilan est terrible : trois morts, le pilote, le mécanicien et un secouriste CRS de Lannemezan, et un blessé grave. « Les enquêtes n'ont jamais permis de déterminer les causes de ces accidents. L'appareil a même été mis en cause à un moment donné. Mais cette piste n'a rien donné. C'est assez dur de rester dans cet inconnu, de ne pas savoir ce qui a pu se passer », témoigne le responsable de la base hélico.
Depuis ces accidents, les appareils ont été équipés de boîte noire.
http://www.sudouest.fr/2011/06/28/un-dragon-et-huit-hommes-438079-4344.php
Connaissez-vous les "MAMMATUS" ?????
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On peut donc observer ces particularités sous des nuages stratiformes, marquant une atmosphère stable, ou cumuliformes, marquant une atmosphères instable. La formation des MAMMAS relève donc de deux processus différent :
- Dans le cas de l'atmosphère stable c'est la différence de vitesse de déplacement de la masse d'air sèche (en dessous du nuage) et de celle humide (le nuage) qui crée, par frottement l'une sur l'autre, des rotors (comme des tourbillons dans une rivière, mais à la verticale, au lieu d'être à l'horizontale). Le bord descendant du rotor entraîne l'air saturé du nuage vers le bas, le bord ascendant du rotor entraîne l'air sec et transparent vers le haut. Il en résulte un aspect chaotique qui peut se développer jusqu'à l'apparition de protubérances arrondies et indépendantes donnant l'image de mamelles.
Rappel sur les nuages…
* Les Saints du jour...
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PIERRE ET PAUL 29 JUIN
Cette fête est surprenante puisqu’elle associe deux hommes qui se sont certes, connus mais qui ont eu des chemins différents.
Pierre a été choisi comme apôtre par Jésus, il a tout quitté et a cheminé avec lui, il l’a reconnu comme Christ, il l’a trahi à la Passion mais l’a reconnu comme sauveur et a été le premier à proclamer la Bonne Nouvelle le jour de la Pentecôte. Paul, pharisien de la bonne école et citoyen romain, n’a jamais connu le Jésus historique, il l’a nié à travers ses disciples qu’il a persécutés, mais il a eu une vision et un appel sur le chemin de Damas, il est devenu le missionnaire par excellence, auprès des Juifs et des païens et il s’est proclamé apôtre, il a fondé des églises, créé des liens entre toutes… Ils ont tous deux connu la prison et sont morts pour leur foi, l’un crucifié, l’autre décapité.
« En un seul jour, nous fêtons la passion des deux Apôtres, mais ces deux ne font qu’un. Pierre a précédé, Paul a suivi. Aimons donc leur foi, leur existence, leurs travaux, leurs souffrances ! Aimons les objets de leur confession et de leur prédication ! » Saint Augustin
BONNE FETE AUX PAUL, POL, POLLY
BONNE FETE AUX PIERRE, PIERRETTE, PIERIG, PERNETTE, PERRINE, PIA… mais aussi aux EMERAUDE, RUBY, JADE…
www.prenomdujour.over-blog.com
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De Saint Paul la claire journée annonce une bonne année !
S'il fait vent,aurons la guerre...
S'il pleut de l'eau,tout sera cher...
S'il fait épais brouillard,mortalité de toute part !!
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En provence: Entre san Peiroun et Paulet,planto lou pouerri et lou caulet...
...plante les poireaux et les choux...le même jour,donc !!
* :0036: Sous-rires du jour...Blog de JM et lepost.fr *
*Remaniement....
Entre le singe et l'homme,il y eut forcément une époque où l'on ne savait pas
si l'on devait mettre des gants ou des souliers....F.CAVANNA *
* Un collier de perles pour finir...
D'autres PPS sur Diaporamas-a-la-con
Bonne journée !!! :0014: