*Lesc'infos d'été* Diluns 20 de Agost *
*Les "Lescunales 2012"...C'est fini !! Sniff...C.Cauhapé-Coudure *
:0038: En attendant un peu de fraîcheur...Petit tour des dernières infos et prévisions pour la semaine..
Bonne lecture *
Lundi 20 août :
- Etsaut : 20h30 : Maison du Parc National des Pyrénées : causerie avec Louis Loustau-Chartez sur "les Passeurs et évadés en vallée d'Aspe sous l'occupation allemande."
- Entrée gratuite.
C'est à partir de témoignages recueillis que Louis Loustau-Chartez parlera de cette période où plus de cent jeunes de la vallée requis pour travailler au service de l’ennemi en Allemagne, ont fait le choix de rejoindre les forces françaises en franchissant la frontière franco-espagnole étroitement surveillée, après l'instauration du STO en février 1942.
Il s'appuiera sur un diaporama pour rendre hommage à ces hommes sur qui le voile de l'oubli s'étend peu à peu.
Cette recherche a fait l'objet d'un numéro spécial de Mémoire d'Aspe. Cette association valléenne a pour objet de rassembler l'ensemble des éléments historiques permettant de constituer les archives d'une mémoire collective de la vallée d'Aspe.
Mardi 21 août :
- Accous-Jouers : 21h : à l’église : concert avec Bruno Lapassatet, chanteur lyrique.
- concert de Bruno Lapassatet dans l'intimité de la petite chapelle de Jouers.
Chanteur lyrique en villégiature à Lescun dans la maison familiale, il interprétera des mélodies françaises et airs d'opéras, de la variété lyrique, jazz-crooner. Ce chanteur populaire à la basse profonde a enregistré le clip de la chanson, générique du film "Ah, si j'étais riche".
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- Sarrance : 17h : balade autour du petit patrimoine du village proposée par l'Ecomusée.
Mercredi 22 août :
- Sarrance : 21h soirée béarnaise avec les chanteurs d'Eysus et de Vath d'Aspa proposée par Espiat Sarrance.
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Mercredi soir, dernière soirée estivale proposée par Espiat Sarrance avec une soirée béarnaise
- repas typique à 19h30 à l'Auberge (réservations obligatoires au 05 59 34 56 92 ou 06 87 24 54 07)
- 21h : chants béarnais avec les chanteurs d'Eysus et Vath d'Aspa.
Jeudi 23 août :
- Borce : 20h30 à l'église : concert avec le groupe polyphonique Errejentak, suivi une promenade commentée dans le village. Proposé par l'Ecomusée.
- Bedous : 21h à l'église : concert avec Taquile, musiques latines d'Europe et d'Amérique Latine.
Vendredi 24 août :
- Accous-Lhers : soirée grillades à partir de 20h animé par des chanteurs locaux.
Samedi 25 août :
- Bedous : Nuit Européenne de la Chave-souris : animations proposées par le Parc National des Pyrénées. 16h : découverte. 20h30 : sortie observation sur le terrain.
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- Escot : Fête de l'Agneau "Pyrénées en Trans" : animations non-stop de 8h à tard dans la nuit
Dimanche 26 août :
- Escot : Fête de l'Agneau "Pyrénées en Trans" : messe, apéritif et aubade.
http://accous.blogs.larepubliquedespyrenees.fr/
La chaleur n'a pas eu prise sur les alter-cyclistes qui ont achevé à Bedous samedi leur circuit de 5 semaines en vélo.
Découvrant des initiatives solidaires tout au long de leur périple, ils avaient fait une halte à Gey rencontrer Jean-Joël Torregrosa qui a repris l'exploitation de Muriel et Gérard avec le soutien du GFAM (Groupement Foncier Agricole Mutuel) du Béarn.
En début de soirée, un échange s'est ouvert au frais sous la halle, avec les aspois présents, principalement des membres des associations accueillantes, le GFAM, les Phonies Bergères et Aspe Solidaire.
Accueillis par le maire de Bedous, Henri Bellegarde, les alter-cyclistes se sont interrogés comment on pouvait vivre dans une vallée si étendue avec 2700 habitants.
"Et bien oui, nous avons deux médecins, un projet de maison de la santé, un cabinet d'infirmières, des artisans qui ont fait le choix de s'installer dans la vallée" ont affirmé les aspois. Bémol, les transports "le projet de réouverture de la voie ferrée n'est pas un projet pour les populations puisque le choix est de ne pas faire des arrêts dans les villages, à Asasp, Sarrance" a rappelé Muriel.
Eric Pétetin a fait une apparition rapide pour rappeler l'existence de la Goutte d'Eau "des chômeurs qui ont réquisitionné un bâtiment de RFF, mais on est rejeté par la population locale, nous somme les cagots modernes" devait lancer l'indien, avant de repartir tranquillement.
Jean-Louis Miramon a présenté la démarche de SAS Graine, mis en place par des agriculteurs pour soutenir des jeunes ayant un projet avec la gestion d'une couveuse d'entreprise agricole de proximité.
Avant d'attaquer l'apéritif, les alter-cyclistes ont ouvert "la criée", une petite boîte où chacun écrit son petit billet d'humeur ou coup de cœur. Globalement, la richesse des échanges, la solidarité, ont pris le pas sur les difficultés de la route, les chaînes de vélos qui annoncent qu'elles vont sauter, en couinant dans la montée, mais aussi pour améliorer l'ordinaire " à quand un four solaire pour faire un crumble avec les fruits des bords des routes ?"
Belle victoire d'une équipe inter-vallée pour le Trophée du Poey qui s'est déroulé sous une chaleur torride samedi à Accous. C'était un peu des retrouvailles pour Didier Zago, champion de France 2011 qui, depuis deux ans, n'avait pas participé à Accous, se consacrant à ses préparations nationales. Et c'est avec un plaisir non feint que le barétounais de Féas a retrouvé l'aspois, Jean-François Cedet de Borce avec qui il a couru (et gagné !) de nombreuses fois le Poey. Manquait à l'appel Michel Puyaucale, pris par d'autres obligations, mais le jeune d'Ogeu, Pierre Mouluquet a eu à cœur de faire honneur à ses ainés.
19 équipes se sont alignées samedi pour cette originale course à la montagne, en relais par équipe de trois. Didier Zago imposait son rythme dès la montée, passant le relais à Jean-François Cedet au sommet, moins à l'aise sur la descente mais qui n'a pas eu de mal à garder la tête, avant de passer le relais à Pierre. Derrière, c'est l'équipe menée par Jean-Pierre Daunet de Lurbe qui s'est imposée devant l'équipe de Nicolas Apiou.
Résultats :
- Didier Zago, Jean-François Cedet et Pierre Mouluquet.
- Jean-Pierre Daunet, Richard Labaquère, Philippe Lambin.
- Nicolas Apiou, David Rico, Didier Lagouarde.
Ne faudrait-il pas annuler la course des enfants compte tenu de la chaleur ?
La question s'est
posée pour les organisateurs, mais devant l'engouement, 21 inscrits, il a été décidé de la modifier pour une ligne droite croix d'Espiatte, mairie pour tous se retrouver à la fontaine rafraichissante.
Une participation qui avait bien mérité la médaille passée autour du coup des plus grands comme des plus petits, Jérémy Coelho était le benjamin de 3 ans.
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* *Moins sportif....Patates cramées...
(Archives PP / J.Ph.Gionnet)
La fête des Patates à Accous s'est très mal terminée samedi soir. Vers 1 h 30, une bagarre sur fond d'abus d'alcool a éclaté entre jeunes. Un homme de 62 ans s'est interposé. Mal lui en a pris. Il a été roué de coups et hospitalisé à Oloron.
Placé en soins intensifs, il a été opéré d'une fracture du tibia et de coups violents subis à la tête. Les organisateurs ont choisi d'écourter les fêtes, et l'élection de miss Patates n'a pas eu lieu. De leur côté, les gendarmes d'Accous ont identifié les auteurs de cette bagarre.
Voir les commentaires : : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2012/08/20/violente-bagarre-aux-fetes,1094698.php
*Mise à jour 15hrs :
Deux personnes sont actuellement en garde à vue à la gendarmerie de Bedous suite aux bagarres qui ont éclaté, dans la nuit de samedi à dimanche, aux fêtes d'Accous, petit village de la vallée d'Aspe, et ont fait un blessé grave : un homme d'une soixantaine d'années qui est intervenu pour ramener le calme.
http://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/pau/
*Bienvenue, Chef !!
Le nouveau patron du PGHM d'Oloron : des Alpes aux Pyrénées
Par L. V. 
Sébastien Grandclément a passé l'essentiel de sa vie en montagne. (Marc Zirnheld)
S'il n'est pas né skis aux pieds, il s'en est fallu de peu. Issu d'une famille de fondeurs, Sébastien Grandclément est né dans le Jura il y a 37 ans mais a passé toute son enfance à Chamonix. "Mon père était militaire et sportif de haut niveau, il était dans l'équipe de France de ski de fond. Puis il a été instructeur à l'armée de terre. On habitait en face de la gendarmerie et j'ai toujours côtoyé ce milieu" explique-t-il.
"Dans ma famille, ils étaient tous fondeurs et mon père m'a mis les skis aux pieds dès 18 mois. Mais j'ai préféré le ski alpin et j'ai fait de la compétition jusqu'à 16 ans" poursuit le Savoyard.
Après une scolarité sans problème à Chamonix dans la section sports-études, il fait son service militaire au PGHM de Saint-Gervais, en Haute-Savoie, pendant seize mois. Il passe le concours de gendarmerie dans la foulée puis passe un an à l'école de sous-officiers.
A 23 ans, tout en étant également moniteur de ski, il intègre l'escadron de gendarmerie d'Annecy où il restera six ans. "Nous allions en renforts dans les stations de ski et nos missions étaient axées sur la montagne" se souvient-il. Suivent cinq années à Thonon-les-Bains au PSIG (peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie) où il finit adjoint au commandant avec le grade d'adjudant.
Adieu les Alpes, bonjour la Brie et son plat pays. Il passe deux ans à Melun pour suivre la formation d'officier, mélange de formation militaire et universitaire avec un master 2 droit et stratégie de la sécurité. Après avoir passé les tests, il retrouve la montagne le 1er août dernier en étant affecté au PGHM d'Oloron avec le grade de lieutenant.
"Ici c'est bien car si j'aime la montagne, j'aime bien la mer aussi et ici il y a les deux" sourit-il. Arrivé avec son épouse et ses trois enfants âgés de 2, 5 et 7 ans, il est installé à la caserne Laperne et découvre son nouveau milieu. "J'ai trouvé les gens super accueillants et sympathiques. J'ai encore peu bougé mais j'irai découvrir et visiter le pays en fin de saison" promet-il.
Par Sébastien Lamarque
Fernand Pon, président de la SAS "Garbure du Béarn", dévoile le visuel des pots de garbure qui seront mis en vente pour la première fois à la 20e Garburade d'Oloron, le samedi 1er septembre. (Sébastien Lamarque)
Fernand Pon ne s'en cache pas depuis deux ans. Ce qui le motive à rester "à la barre" de la Garburade et de son championnat du monde de garbure, pour atteindre les 20 ans de cette manifestation oloronaise de défense du terroir, cette année, c'est de faire aboutir un projet qui lui tient à coeur. "Mettre la garbure d'Oloron en conserve." Les premiers pots sortis des ateliers de Pyragéna à Arzacq seront commercialisés samedi 1er septembre, à la Garburade*.
La "Garbure du Béarn", le nom retenu, est aussi celui de la Société par actions simplifiées (SAS) qui est à l'origine du projet et dont les statuts ont été déposés il y a à peine plus d'un an. "La SAS regroupe des défenseurs passionnés du territoire qui n'ont pas pour objectif premier de gagner de l'argent, mais de poursuivre et d'amplifier l'action réussie de la Garburade ces vingt dernières années, indique Jean-Pierre Cassagne, ex-patron de Pyrénées Presse et "chargé de communication" de la SAS. L'idée, c'est de mettre sur les tables des familles une authentique garbure de qualité."
* Les premiers pots seront en vente à La Garburade du 1er septembre, mais également à la Foire de Pau, du 7 au 14 septembre, et pour Oloron, dans un premier temps, à la boutique Arts et délices.
André Berrotte arpente les itinéraires de Grande Randonnée pour refaire la signalétique. (Laurence Fleuryy)
Tout le monde connaît en montagne les traits rouges et blancs qui jalonnent les sentiers. Tous les GR (itinéraires de Grande Randonnée) de France et de Navarre sont balisés de la même couleur. Tous les ans, un peu avant l'été, des bénévoles de la Fédération française de randonnée pédestre (FFRP) s'arment de pinceaux et de pots de peinture pour remettre en état chaque balise. André Berrotte est de ceux-là. Voilà des années qu'il s'investit et se rend utile pour le plus grand nombre. Des années aussi qu'il est président du Comité départemental de la randonnée pédestre.
D'avril à juin, lui et les soixante et onze autres baliseurs des Pyrénées-Atlantiques s'en vont sur les chemins pour repeindre le balisage défectueux. "Ce qui compte, c'est rendre la marche du randonneur la plus fluide possible, et qu'il n'hésite pas à une bifurcation. Le balisage doit être logique, évident et visible en cas de brouillard."
Une caisse à outils bien fournie
Les Pyrénées-Atlantiques comptent 850 km de GR et près de 1 500 km de sentiers en tout genre. "On ne balise que les GR, poursuit André Berrotte, toujours en binôme. Patrice Bellanger, le responsable de la commission sentier, distribue à chacun un tronçon bien particulier qu'il s'agit d'arpenter dans les deux sens, pour vérifier le balisage." Le tronçon d'André part de Logibar jusqu'à Sainte-Engrâce, en Soule. Mais il lui arrive de prêter main-forte ailleurs, lorsqu'il faut repasser derrière certains, corriger des erreurs ou des négligences.
Sa petite caisse à outils bien fournie, André est pointilleux et apprécie le travail bien fait. À l'aide d'une brosse et d'une pince pour couper les ronces, il nettoie avant de peindre sur des supports toujours bien visibles. Mais l'aménagement et l'entretien des sentiers restent l'apanage des entreprises d'insertion subventionnées par le conseil général.
"Je randonne utile"
Parler de lui, il n'aime pas ça. Il oriente autant que possible la conversation vers la FFRP, ce pour quoi il s'est engagé. "Je faisais partie du comité départemental du tourisme équestre qui s'est rapproché du comité de la FFRP. Ils cherchaient un président, et sans trop savoir comment, on m'a confié le poste. C'est comme cela que je me suis retrouvé baliseur. Du coup, je randonne utile. Et j'aime ça."
André présente les topos édités par la FFRP, parle aussi des chemins de randonnée transfrontaliers (GRT). Un projet qui se met en place avec les communes concernées. Une vingtaine est déjà homologuée dans le département. Et pour parer au cafouillage engendré par les nombreux croisements entre les différents chemins, le conseil général réfléchit à une signalétique qui représentera bien chaque sentier à chaque intersection.
La Fédération française de la randonnée pédestre a aussi créé une fiche d'appréciation destinée aux randonneurs, Eco Veille. Elle permet de faire un état des lieux, de dire ce qui ne va pas. Elle se télécharge sur le site de la Fédération et est distribuée dans les gîtes et les offices du tourisme.
André Berrotte est intarissable. Sa Fédération, c'est aujourd'hui son moteur pour arpenter les chemins. À cheval ou à pied, l'homme se plaît à vadrouiller. À 75 ans, il n'est pas prêt de poser son sac.
Saint Bernard de Clairvaux est un moine fondateur des Cisterciens, mort en 1152.
Bernard est né en 1091 au château de Fontaines près de Dijon, ses parents Tescelin le Roux et d'Aleth de Montbard étaient issus de grandes familles bourguignonnes, et Bernard était appelé à devenir un proche du duc et à mener une vie de chevalier.
Mais à 23 ans il se sentit appelé à la vie monastique et partit avec quelques amis pour l’abbaye de Cîteaux. Puis en 1115 il fonda en Champagne dans un désert, qu'on nommait Vallée d'Absinthe, l’abbaye de Clairvaux dont il restera l’abbé jusqu’à sa mort, et prendra le nom. Son zèle pour entraîner les jeunes gens était prodigieux, son père et ses cinq frères devinrent moines à Clairvaux, sa sœur, Ombeline, prit également l'habit à Jully !
http://www.fille-dieu.ch/liens.htm
Mais en plus quelle vie et quelle activité pendant toutes ses années ! Il était en relation par écrit avec des princes, des papes, des évêques, des moines et de simples fidèles, et il parcourait les routes pour fonder des abbayes, prêcher (notamment la seconde croisade à Vézelay en 1146), développer le culte de Notre Dame, combattre d’autres théologiens notamment Abélard…
Réfectoire de Clairvaux
BONNE FETE AUX BERNARD
Quand arrive la Saint Bernard,si tu n'es pas en retard,ton blé n'est plus sous le hangar,et le moissonneur a sa part ! *
La moisson d'autrefois se prolongeait souvent au delà du 20 Août ...La Saint Bernard marque aussi la fin des risques de fortes chaleurs ! " L'été,la nonne l'enflamme (Claire), le moine l'éteint (Bernard )
* Bon début de semaine à toutes et tous....
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Le sexagénaire a pris un coup au visage qui l'a projeté au sol. Il souffre de fractures du tibia, du péroné et du nez et se trouve toujours à l'hôpital d'Oloron où les médecins ont fixé une interruption temporaire de travail de 75 jours.