*Lesc'infos de Dijaus 15 de Març *

Publié le par le baron de lescun

 

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Les élèves de 3e du Collège d'Aspe poursuivent leur cycle d'initiation à la "chimie verte et durable" animé par Lacq Odyssée.

Après les travaux pratiques au collège en janvier, les jeunes se sont rendus sur le Bassin de Lacq pour visiter des entreprises concernées. Accueillis à la SOBEGI, qui a veillé à l'équipement sécurité de chaque personnes (casque, combinaison et masque), le groupe et leurss enseignants ont visité 3 usines, Cerexagri, Speichim et Lubrizol.

14/03/2012

La Commission "Culture" de la mairie de Bedous organise la visite du Viaduc de Millau les 27 et 28 avril prochain.

Places limitées,
les inscriptions sont prises à la mairie dans l'ordre d'arrivée,
avant la date limite du 23 mars.

Bedous - sortie Viaduc Millau.jpgVendredi 27 avril : départ de Bedous vers 5 heures. Accueil par une guide accompagnatrice, visite du Viaduc de Millau (arrêt au pavillon d’accueil, vidéo et panneaux pédagogiques de cet ouvrage d’art). Continuation vers Roquefort et visites guidées des célèbres caves et dégustation.

Samedi 28 avril : sortie avec le Train touristique et Vélo Rail, sur l'ancienne voie ferrée du Larzac. Retour en petit train touristique. Visite guidée de La Cavalerie, enceinte fortifiée et sa porte imposante, village fondé par les Templiers. Retour vers 22 h à Bedous.

Prix par personne : 170 € sur la base de 40 personnes. Compris le transport en autocar Grand Tourisme, pension complète, visites mentionnés au programme et guide accompagnateur.


Berger bientôt privé d'eau au Bénou : requête rejetée par la justice
 


De gauche à droite devant le tribunal administratif, le berger Joseph Paroix, Jean Gourdou, son conseil, Nadine Bartz, maire de Bilhères-en-Ossau, et Michel Lerbin, de la Confédération paysanne. © Nicolas Sabathier
 

En butte à la commission syndicale de Bielle-Bilhères qui menace de lui couper l'eau, Joseph Paroix a perdu, hier, une bataille juridique. Le berger fait appel devant le Conseil d'État.

Le juge des référés du tribunal administratif de Pau, Frédéric Faïck, a tranché, hier, en faveur de Jean Baylaucq dans le conflit opposant le président de la commission syndicale de Bielle-Bilhères-en-Ossau à Joseph Paroix, éleveur de brebis et producteur de fromage au plateau du Bénou. Le berger demandait au magistrat de faire obstacle à la menace de destruction du branchement qui le relie à la source de Passades, une décision exécutoire à la date du 15 mars.

Il a vu sa requête rejetée au motif que l'usage privatif de l'eau afin d'alimenter son atelier et son habitation n'est pas « conforme » à la destination pastorale collective initiale. En conséquence, la compétence et l'autorité de la commission syndicale pour la gestion des biens indivis, propriétaire de la parcelle et de la source, ne sauraient être discutées, ni le bien-fondé de sa démarche contesté.

Effondré, Joseph Paroix a décidé d'interjeter appel devant le Conseil d'État. « Je ne comprends pas. On n'a pas du tout tenu compte de nos arguments. On met en cause ma probité. Je ne suis pas quelqu'un de malhonnête », s'émeut-il.

Son conseil, Jean Gourdou, et Nadine Bartz, maire de Bilhères-en-Ossau, se déclarent « abasourdis » par l'issue du procès et prêts à en découdre pour empêcher l'accomplissement d'une mesure jugée « injuste et inhumaine ». Ainsi, « si j'acceptais les conditions de Jean Baylaucq, cela reviendrait à accepter de fabriquer du fromage avec de l'eau non potable et on n'aurait pas d'agrément », objecte Joseph Paroix.

« Le président Baylaucq fait un amalgame entre les spéculateurs et un agriculteur installé depuis vingt-deux ans » avait plaidé auparavant Jean Gourdou. « Pourquoi la commission n'a-t-elle pas essayé de rechercher des solutions pérennes conformes au droit au lieu d'aller à l'affrontement ? » interroge le porte-parole du couple Paroix qui réside sur place avec deux de ses filles. « Une structure publique devrait soutenir les rares initiatives d'installation d'éleveurs comme lui, obligé à mettre toute son énergie et une partie non négligeable de son budget dans l'accumulation de procédures administratives et juridictionnelles pour le contraindre à quitter la terre qu'il exploite » estime Jean Gourdou.

Dépité, Joseph Paroix, l'enfant de Sévignacq-Meyracq, a regagné ses hauteurs, l'amertume au coeur et des vers de Rudyard Kipling plein la tête. « Si tu peux voir en un jour détruit l'ouvrage de ta vie... et te sentant haï sans haïr à mon tour, pourtant lutter et te défendre » a-t-il déclamé au micro d'une radio avant de prendre congé, armé pour de nouveaux combats.

 

===> J. Baylaucq : « Je lui laisse une semaine »

« Je suis tout à fait satisfait. Le juge a compris que si M. Paroix n'avait pas d'eau, c'était de sa faute. Il est venu se brancher sur des équipements à nous qui ne sont pas destinés à ça. Maintenant, je lui donne une semaine pour réfléchir. C'est à lui de faire le pas. Moi, je veux que les communes retombent sur leurs pattes » commente Jean Baylaucq qui avait assuré sa défense tout seul, dans un style très imagé, devant le juge Faïck. « On n'est pas là pour sanctionner quelqu'un qui n'a pas nos idées politiques mais pour sauvegarder le bien pastoral. C'est facile de se brancher sur le dos du contribuable. Il boit de l'eau à notre santé depuis 1990 » assène l'élu socialiste dont se désolidarise sa famille politique. Dans un communiqué, la section locale du PS marque en effet son « opposition à la suppression envisagée de l'alimentation en eau, bien commun de l'humanité. Elle souhaite que l'apaisement l'emporte et que la raison conduise les deux parties à décider de la meilleure solution. Elle en appelle à l'entente et propose une médiation afin de régler le conflit ».


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Sainte Louise de Marillac est la fondatrice des Filles de la Charité, morte en 1660

  

medium_Marillac.jpgLouise née en 1591, était la fille « naturelle » de Louis de Marillac, grand seigneur. L’enfant fut placée au monastère royal Saint-Louis de Poissy, chez les dominicaines dirigée par sa tante. La jeune Louise apprit à connaître Dieu, à lire et à écrire, à peindre… elle reçut une solide formation humaniste.

 

Son père décédé, Louise passa bientôt sous la tutelle de son oncle Michel de Marillac. Celui qui avait fondé le Carmel réformé, lui fit connaître Bérulle et Mgr Camus, ami de saint François de Sales… la jeune Louise baignait en pleine atmosphère de réforme catholique, elle souhaitait devenir religieuse mais son oncle lui fit épouser en 1613, Antoine Le Gras, secrétaire de la reine Marie de Médicis. Elle eut un fils, Michel, mais son mari tomba vite malade et mourut en 1625.

 

Elle venait de faire la connaissance de Monsieur Vincent qui en avait fait sa chargée de mission auprès des « Dames de la Charité », bourgeoises ou nobles dames qui étaient pleines de bonne volonté pour venir en aide aux pauvres mais hésitaient à mettre la main à la pâte. En 1630 au moment où son oncle, chancelier et chef du parti dévot, était arrêté par Richelieu, elle vécut une expérience mystique intense et sur le conseil de Vincent de Paul, ouvrit sa maison à de jeunes paysannes qui voulaient servir Dieu en soignant les pauvres. C’est ainsi que naquirent peu à peu « les Filles de la Charité » qui devaient recevoir leurs statuts en 1642. medium_Louise_Mar.jpg

 

 

Éducation des enfants trouvés, secours des victimes des troubles et guerres, soin des malades à domicile ou dans les hôpitaux, service des galériens et des « fous », instruction des filles pauvres… rien n’arrêtait ces nouvelles sœurs qui ne prononçaient pas de vœux définitifs mais les renouvelaient chaque année et pouvaient ainsi vivre non cloîtrées. Ces filles « de plein vent » qui avaient pour voile « la sainte humilité, pour monastère une maison de malade, pour cellule une chambre de louage, pour cloître les rues de la ville, ou les salles des hôpitaux » et pour devise : « la charité de Jésus Crucifié nous presse ».

Les maisons de ces sœurs dites aussi de St Vincent de Paul se multiplièrent, Louise de Marillac mourut le 15 mars 1660 quelques mois avant Monsieur Vincent (voir 27 septembre)

 

 

Son corps repose à la maison mère de Filles de la Charité rue du Bac à Paris près de celui de sainte Catherine Labouré, Fille de la Charité (28 novembre)

 

BONNE FETE AUX LOUISE, LOUISETTE, LILOU ET GINA

 

Le dicton du jour "A la mi-mars, le coucou est dans l'épinard."


 

 

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           :0038:    *Bonne journée !! *                                              Retour à la page d'accueil


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